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In the last decade or so, cinema has revealed itself to be an ideal medium for the transfer and/or remediation of the spoken word as well as stories coming from oral tradition and Indigenous culture. Indeed, cinema is a place of expression which favours cyclical creativity and contributes to the decolonization of stereotyped images propagated by external voices that do not understand the subtleties of languages (real and symbolic) that are anchored in indigenous peoples’ cultural memory. By exploring indigenous cinema as practised by women of diverse nations, this piece demonstrates how cinema can induce the compression and dilation of time, to bring to the audience the fluidity of a story that has been reconfigured according to a new time and carried by spoken words that have chosen to either emancipate themselves from the image or to materialize themselves in it. Furthermore, this article illustrates how a new generation of Indigenous women use cinema to retrace and/or rewrite their personal narrative with the help of autobiographical or collective stories that travel back in time to fill in the blanks left by a fragile memory and to express their will to make peace with a difficult colonial past. Finally, the writings of Lee Maracle (I Am Woman, 1988) and Natasha Kanapé Fontaine (Manifeste Assi, 2014) are being brought forth to show how films such as Suckerfish (Lisa Jackson, 2004) Bithos (Elle-Máijá Tailfeathers, 2015) and Four Faces of the Moon (Amanda Strong, 2016) contribute to the individual and community healing of Indigenous peoples of Canada, through an aesthetic of reconciliation. The exploration of these works, therefore allows us to shed light on and better understand the roles/internal mechanisms of visual autobiographies in the larger context of reconciliation with individual and collective stories/memories.
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Anthropologists of the senses have long argued that cultures differ in their sensory registers. This groundbreaking volume applies this idea to material culture and the social practices that endow objects with meanings in both colonial and postcolonial relationships. It challenges the privileged position of the sense of vision in the analysis of material culture. Contributors argue that vision can only be understood in relation to the other senses. In this they present another challenge to the assumed western five-sense model, and show how our understanding of material culture in both historical and contemporary contexts might be reconfigured if we consider the role of smell, taste, touch and sound, as well as sight, in making meanings about objects.
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Les auteures dressent le portrait tant des défis actuels que des possibilités qui naissent des relations interculturelles se tissant entre commissaires et cinéastes autochtones et non-autochtones dans le cadre du plus grand festival du film autochtone du Brésil, Cine Kurumin. Ce festival annuel, fondé en 2011, se déroule dans des villages ruraux autochtones, de même que dans des métropoles brésiliennes, attirant ainsi des auditoires variés. Le festival est ouvert aux cinéastes autochtones et non-autochtones qui produisent du matériel audiovisuel portant sur des sujets autochtones de partout dans le monde. Divers processus créatifs y sont encouragés grâce à l’organisation d’ateliers de scénarisation, et des partenariats établis avec des chaînes de télévision permettent une plus large diffusion des films sélectionnés. Alors que les productions audiovisuelles autochtones se développent, leurs contenus se diversifient ; elles englobent en effet de plus en plus de thèmes et de styles, de formats et de perspectives variées. En s’appuyant sur un cadre théorique postcolonial et décolonial, les auteures proposent de nouvelles perspectives sur un cinéma en pleine expansion ; les réalisateurs autochtones et leurs films circulent de plus en plus au sein de festivals non thématiques, reçoivent des prix et font rayonner leurs propres voix et points de vue auprès de publics variés, ce qui crée de nombreuses possibilités d’interactions et de dialogues interculturels. En outre, la mise sur pied de Cine Kurumin témoigne du pouvoir des productions audiovisuelles autochtones de générer des relations interculturelles entre cinéastes, commissaires et public.
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Avec Alex Wilson, Jeffrey McNeil, Teddy Syrette, May Ela and Ahmed Maswadeh.
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"Si tous les groupes humains sont touchés par la violence à grande échelle, les femmes la subissent sous des formes spécifiques, comme en témoignent les assassinats systémiques des femmes et des filles autochtones en Amérique du Nord et en Amérique latine, ou encore les nombreux conflits armés (Syrie, Lybie, Birmanie, entre autres) dans lesquels le viol est érigé en arme de guerre. Les deux phénomènes peuvent d'ailleurs se recouper puisque l'un des tout premiers féminicides à avoir été qualifié et documenté comme tel en Amérique est celui ayant été perpétré contre les femmes mayas durant la guerre civile guatémaltèque au début des années 1980. Cependant, les femmes ne sont pas seulement les victimes de la violence de masse, puisqu'elles sont aussi les premières à témoigner et dénoncer pour faire barrage à cette violence. Ce numéro hors-série regroupe des articles et des projets visuels qui décrivent et analysent la violence de masse liée au genre. Il s'agit de réfléchir sur la manière de représenter cette violence et d'en témoigner, d'autant plus qu'elle est bien souvent rendue invisible et inaudible par le patriarcat, le colonialisme, les intérêts politiques en présence ou l'impéritie de l'État."
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Published by SITE Santa Fe on occasion of the inaugural SITElines Biennial, 'Unsettled Landscapes'. Unsettled Landscapes was curated by Janet Dees, Irene Hofmann, Candice Hopkins, and Lucía Sanromán. The exhibition, featuring 47 artists from 14 countries, looks at the urgencies, political conditions and historical narratives that inform the work of contemporary artists across the Americas--from Nunavut to Tierra del Fuego. Through three themes--landscape, territory, and trade--this exhibition expresses the interconnections among representations of the land, movement across the land, and economies and resources derived from the land."--Résumé de l'éditeur
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Sakahàn' celebrates a growing international commitment to the collection, study and exhibition of indigenous art. Featuring more than 75 artists from around the world, this remarkable project places indigenous art squarely at the centre of contemporary art produced today.
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Cet article se penche sur la portée philosophique du projet intitulé Jardins éphémères, un ensemble de onze jardins temporaires réalisés dans le cadre des activités visant à célébrer le 400ₑ anniversaire de la fondation de la ville de Québec au cours de l’été 2008. L’organisation, les intentions et les principaux thèmes sous-jacents aux différents projets sont présentés dans leur ensemble. Le jardin intitulé « Wampum 400 », créé par deux artistes autochtones, Domingo Cisneros et Sonia Robertson Piekuakamilnu, fait l’objet d’un commentaire plus long. L’analyse montre que le projet Jardins éphémères dans son ensemble incarnait les principaux enjeux actuels du jardin en ville. Certains aspects reconduisaient la vision idéelle du jardin, d’autres satisfaisaient la logique touristique de l’événement et d’autres, enfin, développaient une position critique qui concerne la réappropriation d’un espace à usage collectif et, du coup, interrogeaient les fondements épistémologiques et ontologiques du « jardin ».
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Tourist art production is a global phenomenon and is increasingly recognized as an important and authentic expression of indigenous visual traditions. These thoughtful, engaging essays provide a comparative perspective on the history, character, and impact of tourist art in colonized societies in three areas of the world: Africa, Oceania, and North America. Ranging broadly historically and geographically, Unpacking Culture is the first collection to bring together substantial case studies on this topic from around the world.
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1. Approches
2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s
- Créateur.rice PANDC
- Auteur.rice (4)
- Auteur.rice autochtone (3)
- Auteur.rice PANDC (2)
- Autrice (5)
- Créateur.rice autochtone (8)
- Créateur.rice LGBTQ+ (1)
- Créateur.rice noir.e (2)
- Créatrice (7)
- Identités diasporiques (2)
4. Corpus analysé
- Afrique (3)
- Amérique centrale (4)
- Amérique du Nord (8)
- Amérique du Sud (4)
- Asie (3)
- Europe (1)
- Océanie (2)
4. Lieu de production du savoir
- Afrique (1)
- Amérique centrale (1)
- Amérique du Nord (8)
- Amérique du Sud (2)