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2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s

Résultats 140 ressources

  • In this interview, multidisciplinary artist Caroline Monnet discusses how acts of critical self-representation open up new spaces for territorial, linguistic, and identity negotiations and affirmations for Indigenous creators. In this sense, Monnet expresses her desire to put forward exuberant, strong, and diverse representations of Indigenous women in order to counter pervasive rhetorical dynamics of victimhood conveyed by mass media and cinema. As she presents some of the visual and discursive techniques she develops through her films, installations, and photographic works, Monnet reflects on the constructive dialogues – as well as the moments of incommunicability – that emerge and fade within various spaces and contexts of creation and reception. She considers that her individual and collective creative projects fall within a pivotal period of self-determination for Indigenous artists; she thus provides a critical overview of current discourses of (re)concililation.

  • "This book investigates international Indigenous methodologies in art curatorial practice from the geographic spaces of Canada, Aotearoa (New Zealand) and Australia. From a perspective of Indigenous peoples important place within society, this collection explores how Indigenous art and culture operate within and from a structural framework that is unique and is positioned outside of the non-Indigenous cultural milieu. Through a selection of contributions, Becoming Our Future articulates this perspective, defines Indigenous curatorial practice and celebrates Indigenous sovereignty within the three countries. It begins to explore the connections and historical moments that draw Indigenous curatorial practices together and the differences that set them apart. This knowledge is grounded in continuous international exchanges and draws on the breadth of work within the field. With contributions by Nigel Borell, Nici Cumpston, Freja Carmicheal, Karl Chitham, Franchesca Cubillo, Léuli Eshraghi, Reuben Friend, Jarita Greyeyes, Heather Igloliorte, Jaimie Isaac, Carly Lane, Michelle LaVallee, Cathy Mattes, Bruce McLean, Kimberley Moulton, Lisa Myers, Julie Nagam, Wanda Nanibush, Jolene Rickard, Megan Tamati-Quennell, and Daina Warren."-- Provided by publisher.

  • La question de la mémoire en condition hyperconnectée s’articule également dans le potentiel des réseaux sociaux pour la mise en visibilité de différents mouvements activistes autochtones au Canada. À travers deux études de cas, le projet The Indigenous Archival Photo Project par l’écrivain Paul Seesequasis (Cri des plaines) et la page Instagram What Brings Us Here mettant en vedette les groupes d’activistes à Winnipeg The Bear Clan et Drag the Red, ce chapitre réfléchit à la manière dont les créateur.rice.s autochtones utilisent les réseaux sociaux comme des vecteurs d’agentivité narrative témoignant de différents enjeux touchant les communautés. Ces projets doivent être considérés comme des opérateurs de changements, car ils participent à la valorisation des voix autochtones et à l’instauration de divers réseaux de solidarité. Par différentes stratégies conversationnelles en ligne, ces projets renouent ainsi avec le communautarisme propre aux médiums de communication traditionnels autochtones où le dialogue est primordial.

  • The queer women's comedic web series that have flourished in the last decade, serving as launching pads for their creators, coincided with media-industry nichification's segmentation of a consumer population regarded by advertisers and content providers as one monolithic LGBTQ community. The series I examine-from The Slope, which premiered in 2010, to Strangers, released in 2017-voice their creators' and characters' marginalization from and even opposition to such an imagined community, through recourse to what I call a "bad queer" rhetorical practice, which uses ironic metacommentary to critique assimilationist values and tropes alongside queer identity policing. These series emerged, at least initially, as an alternative sphere of queer media production and a queer discursive mode that employs disidentification as a politicized strategy to challenge dominant LGBTQ scripts. Offering an irreverent alternative to mainstream and millennial LGBTQ cultural products, these "bad queer" web series express the plurality of the queer "community" and expose political contestations within its ranks, and in so doing serve as brand differentiation for a new generation of queer media producers.

  • Haerenga Wairua / Spiritual Journeys explore le cinéma maori en tant que 4e cinéma, dans son articulation de la spiritualité maorie comme un ensemble de croyances et de pratiques vivantes et d’une grande pertinence pour ce XXIe siècle. Après une brève description des termes et croyances clés, l’auteure analyse deux longs-métrages de fiction récents, The Strength of Water (Armagan Ballantyne, scr Briar Grace-Smith, NZ & Allemagne 2009) et The Pā Boys (Himiona Grace, NZ, 2014) comme emblématiques des pratiques cinématographiques autochtones, en ce qu’ils mettent fortement en avant différents niveaux et expériences de transformation spirituelle, via divers voyages au propre comme au figuré : voyages réels, voyages psychologiques ET expériences après la mort, donc voyages spirituels. Positionnant ces films dans le contexte des traditions spirituelles de narration littéraire et cinématographique, l’auteure explore les diverses techniques filmiques et cinématographiques mises en œuvre pour rendre l’expérience spirituelle, via le son et l’image, en mettant en évidence les liens avec la Terre, l’Eau et l’environnement naturel en tant qu’éléments spirituels et souvent surnaturels. Alors que ces derniers sont généralement interprétés par les critiques et chercheurs allochtones comme étant de l’ordre du fantastique, dans le discours établi du réalisme magique, l’auteure avance plutôt que les représentations autochtones ne peuvent être ni expliquées ni contenues de manière adéquate par ce terme, et propose à sa place celui de « réalisme spirituel autochtone ». L’auteure conclut en soulignant la pertinence de voix autochtones comme celles-là, qui expriment une spiritualité enracinée dans l’interdépendance de tous êtres et de toutes choses : force de guérison dans notre planète meurtrie.

  • Avec Alex Wilson, Jeffrey McNeil, Teddy Syrette, May Ela and Ahmed Maswadeh.

  • Cet article se penche sur les relations et collaborations récentes entre les cinéastes autochtones et québécois. Une brève exploration des représentations autochtones antérieures et du contexte contemporain de co-réalisation Québec/Autochtonie nous permet d’esquisser un portrait plus nuancé des nouvelles configurations transnationales du paysage cinématographique québécois. De même, les notions d’autochtonisation du médium, de souveraineté visuelle et de survivance nous aideront à mieux cerner les œuvres de fiction réalisées par des cinéastes autochtones, qui contribuent à l’enrichissement d’un cinéma qui propose de nouvelles façons d’habiter les territoires québécois/autochtones.

  • Encounters on Contested Lands analyzes films, plays, visual art, and protest marches by Indigenous artists in Québec, Canada, to explore the performance of cultural identity, sovereignty, and nationhood in Québec's independence movement

  • Ce mémoire cherche à dresser l'historiographie de l'artiste anishnabé Nadia Myre. Il s'agit d'une analyse à la fois qualitative et quantitative de près de 200 textes récoltés au sujet de l'artiste du début de sa carrière (1995) jusqu'en 2016. En plus d'offrir une visualisation de l'accomplissement de celle-ci avec la création d'une feuille de calcul, le présent mémoire cherche aussi à analyser les différents propos des auteur.es au sujet de la pratique d'une artiste autochtone en territoire appelé Canada. Les œuvres les plus marquantes de l'artiste sont également analysées en profondeur.

  • Stemming from Grosfoguel’s decolonial discourse, and particularly his enquiry on how to steer away from the alternative between Eurocentric universalism and third world fundamentalism in the production of knowledge, this article aims to respond to this query in relation to the field of the art produced by Latin American women artists in the past four decades. It does so by investigating the decolonial approach advanced by third world feminism (particularly scholar Chandra Talpade Mohanty) and by rescuing it from—what I reckon to be—a methodological impasse. It proposes to resolve such an issue by reclaiming transnational feminism as a way out from what I see as a fundamentalist and essentialist tactic. Following from a theoretically and methodological introduction, this essay analyzes the practice of Cuban-born artist Marta María Pérez Bravo, specifically looking at the photographic series Para Concebir (1985–1986); it proposes a decolonial reading of her work, which merges third world feminism’s nation-based approach with a transnational outlook, hence giving justice to the migration of goods, ideas, and people that Ella Shohat sees as deeply characterizing the contemporary cultural background. Finally, this article claims that Pérez Bravo’s oeuvre offers the visual articulation of a decolonial strategy, concurrently combining global with local concerns.

  • Résumé livre : 4e de couv.: Les mutations qui se sont amorcées à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale et qui connaissent une accélération rapide avec les crises sociales, culturelles, économiques et environnementales contemporaines ont transformé le paysage muséal et les visions dont les musées se soutiennent et qu'ils entretiennent. La plupart des travaux produits au cours de ces années ont été portés par ces transformations et y contribuent : la recherche en muséologie s'est elle-même dissociée de la recherche dans les musées dans les années 1980. De plus, quelque chose s'est noué entre un tournant communicationnel dans les musées et un développement de la réflexion théorique et critique sur la communication. Dans une approche résolument pluridisciplinaire, cet ouvrage se propose d'analyser ces évolutions dans leurs dimensions institutionnelles, culturelles, communicationnelles, historiques, patrimoniales. Les perspectives réunies ici contribueront, sans aucun doute, à mettre au jour les mouvements de fond actuels, les tendances qui travaillent les institutions elles-mêmes, et le poids de ces changements dans la formulation des enjeux théoriques en muséologie.

  • De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d'exposition de 12 œuvres d'artistes autochtones dans le cadre du Concours d'œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l'ensemble de cette exposition afin d'en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires

  • Le colloque « L’appropriation culturelle et les peuples autochtones : entre protection du patrimoine et liberté de création », organisé à l’UQAM en avril 2018, a suscité un dialogue fructueux à propos des multiples dimensions de l’appropriation culturelle. Réunissant des acteurs des milieux des arts et de la culture, du droit, de la politique, du tourisme et de la santé, ce colloque a permis de susciter des avenues de réflexion ainsi que différentes pistes d’action. Ce colloque, organisé par le Groupe de recherche interuniversitaire sur les affirmations autochtones contemporaines (GRIAAC-UQAM) en collaboration avec la Faculté des sciences humaines (FSH), la Société Recherches amérindiennes au Québec (SRAQ) et l’organisme Terres en vues, visait à réunir des experts et des praticiens des cultures et des sociétés autochtones (Premières Nations, Inuits et Métis), mais aussi des spécialistes des questions juridiques liées à la propriété intellectuelle, au droit d’auteur et aux droits collectifs, autour d’une question commune : comment respecter et protéger les traditions, les conceptions, les symboles, les savoirs, les patrimoines culturels matériels et immatériels autochtones, tout en continuant à favoriser la créativité et les échanges entre les cultures? À travers des présentations générales et des tables rondes réalisées sous forme d’ateliers, ce colloque visait non seulement à poser les termes de ces questions complexes, mais également à identifier des pistes concrètes d’actions pour que soient reconnues et respectées l’histoire, les lois et l’épanouissement tant des cultures autochtones que des autres cultures, et en particulier de la culture québécoise.

  • Le territoire (Nitaskinan), dans la pensée autochtone, est une notion centrale et pluridimensionnelle ; elle induit un territoire historique, géographique et politique revendiqué ainsi qu'un territoire cosmologique inscrit au cœur de rites et de croyances ancestrales. C'est l'articulation et l'harmonisation de ce territoire pluriforme que l'artiste atikamekw Eruoma Awahish entreprend de présenter dans son œuvre. Ce mémoire adresse la manière dont l'artiste représente le territoire, à la fois dans une volonté d'ancrage traditionnel et de réactualisation contemporaine dans une perspective diachronique. L'artiste déploie une esthétique franche et colorée, elle s'emploie à renverser les codes du colonialisme et développe des stratégies afin de contribuer aux revendications et à l'affirmation territoriale des Premières Nations. Par le biais d'une production artistique politisée, Eruoma Awashish applique un prisme décolonisateur ; elle réinvestit une histoire coloniale et offre aux symboles et aux narrations autochtones une place centrale et active. Ce mémoire met subséquemment l'emphase sur la capacité des nations autochtones à s'adapter, à s'auto-définir et à s'auto-représenter. Les artistes se font les témoins et les vecteurs d'une affirmation et d'une recherche de souveraineté qui, chez Awashish, est à la fois visuelle, culturelle et territoriale. Déployant une approche interdisciplinaire, à l'image de la production de l'artiste, ce mémoire prend pour appui les écrits de penseur.se.s autochtones afin de présenter la démarche et la production d'une artiste ancrée dans un contexte contemporain complexe soumis à de nombreuses revendications politiques, culturelles et territoriales. Si les œuvres d'Awashish transmettent et diffusent ces revendications, elles sont toutefois, avant tout, le reflet de croyances et d'une histoire territoriale atikamekw.

  • Have you ever wanted to know which games to use in your classroom, library, or afterschool program, or even at home? Which games can help teach preschoolers, K-12, college students, or adults? What can you use for science, literature, or critical thinking skills? This book explores 100 different games and how educators have used the games to teach - what worked and didn't work and their tips and techniques. The list of 100 goes from A to Z Safari to Zoombinis, and includes popular games like Fortnite, Call of Duty: Modern Warfare, and Minecraft, as well as PC, mobile, VR, AR, card and board games.

  • "Afterlives of Indigenous Archives offers a compelling critique of Western archives and their use in the development of “digital humanities.” The essays collected here present the work of an international and interdisciplinary group of indigenous scholars; researchers in the field of indigenous studies and early American studies; and librarians, curators, activists, and storytellers. The contributors examine various digital projects and outline their relevance to the lives and interests of tribal people and communities, along with the transformative power that access to online materials affords. The authors aim to empower native people to re-envision the Western archive as a site of community-based practices for cultural preservation, one that can offer indigenous perspectives and new technological applications for the imaginative reconstruction of the tribal past, the repatriation of the tribal memories, and a powerful vision for an indigenous future."

  • An interview by Kathrin Trattner with Mira Wardhaningsih, Cultural Content Director from StoryTale Studios about the game Pamali

  • Digital games can uniquely express Indigenous teachings by merging design, code, art, and sound. Inspired by Anishinaabe grandmothers leading ceremonial walks known as Nibi Walks, Honour Water (http://www.honourwater.com/) is a singing game that aims to bring awareness to threats to the waters and offer pathways to healing through song. The game was developed with game company Pinnguaq and welcomes people from all over to sing with good intentions for the waters. The hope is to pass on songs through gameplay that encourages comfort with singing and learning Anishinaabemowin. Songs were gifted by Sharon M. Day and the Oshkii Giizhik Singers. Sharon M. Day, who is Bois Forte Band of Ojibwe and one of the founders of the Indigenous Peoples Task Force, has been a leading voice using singing to revitalize the waters. The Oshkii Giizhik Singers, a community of Anishinaabekwe who gather at Fond du Lac reservation, contribute to the healing for singers, communities, and the waters. Water teachings are infused in art and writing by Anishinaabe and Métis game designer, artist, and writer Elizabeth LaPensée. From development to distribution, Honour Water draws on Indigenous ways of knowing to reinforce Anishinaabeg teachings with hope for healing the water.

  • Game Devs & Others: Tales from the Margins tell the true stories of life in the industry by people of color, LGBTQIA and other marginalized identities. This collection of essays give people a chance to tell their stories and to let others know what life on the other side of the screen is like when you’re not part of the supposed “majority”. Key Features This book is perfect for anyone interested in getting into the games industry who feels they have a marginalized identity For those who wish to better diversify their studio or workplace who may or may not have access to individuals that could or would share their stories about the industry Includes initiatives aimed at diversifying the industry that have a positive or negative impact on the ongoing discussions Coverage of ajor news items about diversity, conferences aimed at or having diversity at its core of content and mission are discussed Included essays are written with as little game dev specific jargon as possible, makeing it accessible to people outside the industry as well as those in the scene but that may not have all the insider lingo

  • Artists and cultural practitioners from Indigenous communities around the world are increasingly in the international spotlight. As museums and curators race to consider the planetary reach of their art collections and exhibitions, this publication draws upon the challenges faced today by cultural workers, Indigenous and non-Indigenous, to engage meaningfully and ethically with the histories, presents and futures of Indigenous cultural practices and world-views. Sixteen Indigenous voices convene to consider some of the most burning questions surrounding this field. How will novel methodologies of word/voice-crafting be constituted to empower the Indigenous discourses of the future? Is it sufficient to expand the Modernist art-historical canon through the politics of inclusion? Is this expansion a new form of colonisation, or does it foster the cosmopolitan thought that Indigenous communities have always inhabited? To whom does the much talked-of 'Indigenous Turn' belong? Does it represent a hegemonic project of introspection and revision in the face of today's ecocidal, genocidal and existential crises?"--Page 4 de la couverture. Autres auteurs/titres:edited by Katya García-Antón ; contributors, Daniel Browning, Kabita Chakma, Megan Cope, Santosh Kumar Das, Hannah Donnelly, Léuli Māzyār Luna'i Eshrāghi, David Garneau, Biung Ismahasan, Kimberley Moulton, Máret Ánne Sara, Venkat Raman Singh Shyam, Irene Snarby, Ánde Somby, Megan Tamati-Quennell, Prashanta Tripura, Sontosh Bikash Tripura.

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 05:00 (EDT)