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Catalogue d'exposition avec des textes de Loft, Igloliorte et Croft. Galerie d'art d'Ottawa.
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Nunatsiavut, the Inuit region of Canada that achieved self-government in 2005, produces art that is distinct within the world of Canadian and circumpolar Inuit art. The world's most southerly population of Inuit, the coastal people of Nunatsiavut have always lived both above and below the tree line, and Inuit artists and craftspeople from "Nunatsiavut have had access to a diverse range of Arctic and Subarctic flora and fauna, from which they have produced a stunningly diverse range of work. Artists from the territory have traditionally used stone and woods for carving; fur, hide, and sealskin for wearable art; and saltwater seagrass for basketry, as well as wool, metal, cloth, beads, and paper. In recent decades, they have produced work in a variety of contemporary art media, including painting, drawing, printmaking, photography, video, and ceramics, while also working with traditional materials in new and unexpected ways. SakKijâjuk: Art and Craft from Nunatsiavut is the first major publication on the art of the Labrador Inuit. Designed to accompany a major touring exhibition organized by The Rooms Provincial Art Gallery of St. John's, the book will feature more than 80 reproductions of work by 45 different artists, profiles of the featured artists, and a major essay on the art of Nunatsiavut by Heather Igloliorte. SakKijâjuk - "to be visible" in the Nunatsiavut dialect of Inuktitut - provides an opportunity for readers, collectors, art historians, and art aficionados from the South and the North will come into intimate contact with the distinctive, innovative, and always breathtaking work of the contemporary Inuit artists and craftspeople of Nunatsiavut
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Tribal art has greatly inspired much 20th-century Western art. But is this a cross-cultural discovery to be celebrated, or another example of Western colonial appropriation? This work, focusing on countries such as Australia and New Zealand, argues that both views are too simplistic
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"D'horizons et d'estuaires. Entre mémoires et créations autochtones est une collection d'essais réunissant les voix de 16 artistes, commissaires, historien·ne·s de l'art et travailleur·se·s culturel·le·s autochtones, tant francophones qu'anglophones, œuvrant dans les territoires que l'on nomme Québec. Faisant suite à des expositions, des performances, des résidences d'artistes et des discussions mises en place lors du Projet Tiohtià:ke (2017-2019) du Collectif des commissaires autochtones, ces textes honorent les relations et les affinités qui sont au cœur de ces pratiques en arts visuels. Quelle place occupe actuellement les créations visuelles autochtones dans la société québécoise? Comment les créateur·trice·s imaginent-iels le futur de leurs expressions culturelles? Par la diversité des points de vue et les enjeux soulevés par ces écrits, ce livre pose des questions cruciales sur l'avenir des arts autochtones et ouvre la porte à des dialogues longtemps attendus au Québec qui, nous l'espérons, permettront de créer de réels changements positifs. Il est maintenant temps de plonger dans ces imaginaires collectifs éblouissants et de nager dans les eaux ondulantes de ces mémoires résilientes. Le texte est accompagné de 28 photographies d'œuvres d'artistes autochtones."-- Fourni par l'éditeur
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Published in conjunction with the exhibition of the same name, on view at the Heard Museum in Phoenix, Arizona, from October 6, 2007, to April 27, 2008, and at the George Gustav Heye Center, National Museum of the American Indian, in New York, New York, from May 26 through September 30, 2008
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Le territoire (Nitaskinan), dans la pensée autochtone, est une notion centrale et pluridimensionnelle ; elle induit un territoire historique, géographique et politique revendiqué ainsi qu'un territoire cosmologique inscrit au cœur de rites et de croyances ancestrales. C'est l'articulation et l'harmonisation de ce territoire pluriforme que l'artiste atikamekw Eruoma Awahish entreprend de présenter dans son œuvre. Ce mémoire adresse la manière dont l'artiste représente le territoire, à la fois dans une volonté d'ancrage traditionnel et de réactualisation contemporaine dans une perspective diachronique. L'artiste déploie une esthétique franche et colorée, elle s'emploie à renverser les codes du colonialisme et développe des stratégies afin de contribuer aux revendications et à l'affirmation territoriale des Premières Nations. Par le biais d'une production artistique politisée, Eruoma Awashish applique un prisme décolonisateur ; elle réinvestit une histoire coloniale et offre aux symboles et aux narrations autochtones une place centrale et active. Ce mémoire met subséquemment l'emphase sur la capacité des nations autochtones à s'adapter, à s'auto-définir et à s'auto-représenter. Les artistes se font les témoins et les vecteurs d'une affirmation et d'une recherche de souveraineté qui, chez Awashish, est à la fois visuelle, culturelle et territoriale. Déployant une approche interdisciplinaire, à l'image de la production de l'artiste, ce mémoire prend pour appui les écrits de penseur.se.s autochtones afin de présenter la démarche et la production d'une artiste ancrée dans un contexte contemporain complexe soumis à de nombreuses revendications politiques, culturelles et territoriales. Si les œuvres d'Awashish transmettent et diffusent ces revendications, elles sont toutefois, avant tout, le reflet de croyances et d'une histoire territoriale atikamekw.
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Cet article se penche sur la portée philosophique du projet intitulé Jardins éphémères, un ensemble de onze jardins temporaires réalisés dans le cadre des activités visant à célébrer le 400ₑ anniversaire de la fondation de la ville de Québec au cours de l’été 2008. L’organisation, les intentions et les principaux thèmes sous-jacents aux différents projets sont présentés dans leur ensemble. Le jardin intitulé « Wampum 400 », créé par deux artistes autochtones, Domingo Cisneros et Sonia Robertson Piekuakamilnu, fait l’objet d’un commentaire plus long. L’analyse montre que le projet Jardins éphémères dans son ensemble incarnait les principaux enjeux actuels du jardin en ville. Certains aspects reconduisaient la vision idéelle du jardin, d’autres satisfaisaient la logique touristique de l’événement et d’autres, enfin, développaient une position critique qui concerne la réappropriation d’un espace à usage collectif et, du coup, interrogeaient les fondements épistémologiques et ontologiques du « jardin ».
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De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d'exposition de 12 œuvres d'artistes autochtones dans le cadre du Concours d'œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l'ensemble de cette exposition afin d'en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires
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La crise d'Oka marque un véritable moment de rupture dans lesrelatlons entre les premiers peuples et les colonies de peuplement. Dans les suites immédiates de l’échec de l’accord du lac Meech, ce long siège armé de 78 jours rend visible une présence autochtone que les sociétés québécoise et canadienne avaient imaginée évanouie. Àl’inverse, l’opposition à l’empiétement mis en œuvre à Kanehsatàke età Kahnawàke réactive une longue histolre de résistance au projet colonial d'appropriation des terres et d'effacement des peuples autochtones. Ce livre envisage la crise d'Oka, ou la résistance à Kanehsatàke, comme un espace de focalisatlon où se donne à voir larelation globale entre les peuples. Qu'est-ce que l'événement fait surgir, transforme et crée, dans la scénographie du siège, mais aussi dans les films documentaires et les récits littéraires, autochtones et allochtones? À l'heure où une nouvelle génération revient sur cette crise politique aux enjeux non résolus, ce livre ouvre un espace où entrent en relation et s'affrontent différents intérêts, connaissances et expressions relatifs à ce conflit territorial. Il engage une réflexion épistémologique essentielle à un processus de décolonisation aussi impératif qu'exigeant.
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Nadia Myre is a multidisciplinary artist whose work explores themes of language, culture, and memory, and who sources the culture of her Algonquin ancestors as a way of confronting contemporary realities. This monograph provides a comprehensive first look at this Montreal-based artist's remarkable career
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Encounters on Contested Lands analyzes films, plays, visual art, and protest marches by Indigenous artists in Québec, Canada, to explore the performance of cultural identity, sovereignty, and nationhood in Québec's independence movement
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Ce mémoire est globalement axé sur la légitimité de la notion d'identité dans les contextes postcolonial et postmoderne. Plus précisément, il porte sur le concept de métissage dans l'art actuel à l'heure de la mondialisation culturelle, lieu propice à un renouvellement de l'identité et de l'imaginaire pour les communautés des Premières Nations d'Amérique du Nord. Il est divisé en deux parties. Les deux premiers chapitres énoncent une perspective socio-ethnohistorique autour des notions d'identité et de métissage, alors que le troisième chapitre expose un point de vue analytique à partir d'un corpus d'oeuvres de trois femmes artistes autochtones du Québec et de l'Ontario s'exécutant sur la scène artistique contemporaine, soit Sonia Robertson, Sylvie Paré et Rebecca Belmore. Plus spécifiquement, le premier chapitre fait état des connaissances et des discours sur les définitions même d'identité et de métissage dans les contextes colonial / postcolonial et moderne / postmoderne. Par extension, je pose cette question concernant l'hybridité culturelle: s'agit-il d'un principe d'homogénéisation et d'essentialisation des cultures ou d'un facteur garant d'hétérogénéité, favorable au mélange et aux échanges interculturels ? Le deuxième chapitre, quant à lui, énonce les contextes de dépossession territoriale et d'exiguïté culturelle dans lesquels ont été contraints les peuples des Premières Nations depuis l'époque coloniale. Il fait aussi mention des métissages artistiques (post)postmodernes, qui contribuent à un renouveau de l'imaginaire amérindien. Dans un esprit à la fois de contestation face à l'image folklorisée de l'« Indien » et de transmission des valeurs traditionnelles, les artistes autochtones font place à la réappropriation culturelle. Enfin, le troisième chapitre souligne les parcours identitaires de Sonia Robertson (Ilnue), Sylvie Paré (métisse huronne-wendat) et Rebecca Belmore (Anishinabekwe). À titre de comparaison, j'analyse un corpus d'installations et de performances sous le thème de la mémoire et de l'identité en lien avec les concepts élaborés dans les chapitres précédents. Le choix d'examiner le travail de trois femmes artistes provenant de communautés différentes permet de rendre compte de réflexions personnelles de la part de femmes autochtones face à la culture dominante et par rapport à leur culture d'origine. Ce choix vise par ailleurs à circonscrire, au sein même de leur production, l'importance de la tradition en fonction de leur affirmation identitaire. Je souhaite ainsi étudier comment ces propositions se positionnent dans un contexte de déterritorialisation culturelle en fonction d'une réalité post(néo)colonialiste, corrélative d'un entre-deux mondes. Pour conclure, je reviens sur les questions d'identité, de mémoire et de territoire en soulignant l'importance idéologique du combat identitaire des communautés autochtones, qui vise la mise en échec des préjugés et des constructions mythiques persistantes entre le « Blanc » et l' « Indien ». Je mesure en ce sens l'impact que pourrait avoir la pensée universelle amérindienne sur nos sociétés hypermodernes en crise et en quête de valeurs.
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Interview vidéo et écrite.
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This article considers the way certain Indigenous artists are reviving conceptions of territory and history that are anchored in secular epistemologies and the construction of knowledge. Such conceptions provide a way for these artists to respond to colonial appropriation, reactivate interrupted dialogues, engender new forms of territorialization, and create places of commemoration and memory preservation. Similar to the historiographical deconstruction performed by thinkers and activists such as Vine Deloria Jr. and Taiaiake Alfred, these artists’ works offer a model of autonomy and environmental balance. While some are reviving mnemonic practices, such as the making of wampum, which traditionally preserve memories of alliances and conflicts, others have embraced Internet and selfie technologies as a means of creating new spaces for speech and recognition
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La question de la mémoire en condition hyperconnectée s’articule également dans le potentiel des réseaux sociaux pour la mise en visibilité de différents mouvements activistes autochtones au Canada. À travers deux études de cas, le projet The Indigenous Archival Photo Project par l’écrivain Paul Seesequasis (Cri des plaines) et la page Instagram What Brings Us Here mettant en vedette les groupes d’activistes à Winnipeg The Bear Clan et Drag the Red, ce chapitre réfléchit à la manière dont les créateur.rice.s autochtones utilisent les réseaux sociaux comme des vecteurs d’agentivité narrative témoignant de différents enjeux touchant les communautés. Ces projets doivent être considérés comme des opérateurs de changements, car ils participent à la valorisation des voix autochtones et à l’instauration de divers réseaux de solidarité. Par différentes stratégies conversationnelles en ligne, ces projets renouent ainsi avec le communautarisme propre aux médiums de communication traditionnels autochtones où le dialogue est primordial.
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What happens when a Native or indigenous person turns a video camera on his or her own culture? Are the resulting images different from what a Westernized filmmaker would create, and, if so, in what ways? This book discusses the core concepts of aesthetics and indigenous culture and examines the work of American Indian documentary filmmakers
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This paper proposes a theoretical framework with which to dis- cuss the critical engagement of media art projects in Second Life with racialized self-representation, fashion and ethnic dress. Ex- amining Montreal-based Mohawk artist Skawennati’s machinima series, TimeTravellerTM (2008-13), a project of self- determination, survivance and Indigenous futurity, it argues the critically-aware act of ‘virtually self-fashioning’ racialized born- digital identities, or virtual ethnicities, disrupts ways in which today’s vast proliferation of self-technologies enabling the crea- tion, recreation and management of multiple selves, would other- wise remain complicit with neoliberal colour-blind racism
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1. Approches
- Analyses formalistes (1)
- Approches sociologiques (20)
- Épistémologies autochtones (104)
- Étude de la réception (5)
- Étude des industries culturelles (15)
- Étude des représentations (23)
- Genre et sexualité (48)
- Histoire/historiographie critique (30)
- Humanités numériques (21)
- Méthodologie de recherche décoloniale (5)
2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s
- Créatrice
- Auteur.rice (35)
- Auteur.rice autochtone (62)
- Auteur.rice LGBTQ+ (4)
- Auteur.rice noir.e (6)
- Auteur.rice PANDC (12)
- Autrice (81)
- Créateur.rice autochtone (116)
- Créateur.rice LGBTQ+ (5)
- Créateur.rice noir.e (7)
- Créateur.rice PANDC (15)
- Identités diasporiques (5)
4. Corpus analysé
- Afrique (8)
- Amérique centrale (10)
- Amérique du Nord (115)
- Amérique du Sud (12)
- Asie (11)
- Europe (11)
- Océanie (16)
4. Lieu de production du savoir
- Afrique (2)
- Amérique centrale (3)
- Amérique du Nord (119)
- Amérique du Sud (5)
- Asie (4)
- Europe (13)
- Océanie (12)