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2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s
5. Pratiques médiatiques

Résultats 12 ressources

  • En esta charla conversaremos sobre las luchas históricas por la reivindicación de los derechos del pueblo afro que están detrás de su estética, específicamente en dos de sus expresiones femeninas: el turbante afro y el pelo natural, los cuales han servido como elementos de resistencia para la pervivencia de las prácticas y costumbres ancestrales. Como parte de la exposición temporal del Museo del Oro 'A bordo de un navío esclavista, La Marie-Séraphique' (que se presentó en Bogotá del 7 de octubre de 2018 al 7 de abril de 2019) hablamos en el museo sobre algunos peinados ancestrales, como la espina de pescado, las tropas, el hundidito, el ciempiés y la vicha, y sobre los usos, significados y modelos de los turbantes afro, como la cadena del esclavo, la autoridad, el kitambala, el enkeycha y el doek. El termino mata ‘e pelo surge de las expresiones propias de nuestras ancestras, que se referían al pelo afro cómo una gran mata (árbol), frondosa, incontrolable y rizada, que requería unos cuidados particulares por su condición crespa, abundante y diversa. El cuerpo de la mujer negra, raizal y palenquera ha estado históricamente ligado a las luchas por la reivindicación de los derechos del pueblo afro, siendo la mata ‘e pelo el elemento estético que más las ha transmitido. Entre las personas de ancestros africanos, la estética del pelo afro se remonta a un pasado cargado de lucha y resistencia, pues las trenzas fueron usadas para la elaboración de mapas que marcaban el camino a la libertad de los cimarrones. Las mujeres se reunían en el patio para peinar a las más pequeñas. Diseñaban en su cabeza un mapa lleno de caminitos y salidas de escape, en el que ubicaban los montes, ríos y árboles más altos. Así, al verlas, los hombres sabían cuáles rutas tomar. Su código, desconocido para los amos, les permitía a los esclavizados huir. El balance humano de la trata de cautivos africanos a través del Atlántico es dramático: con una inmensa brutalidad, desplazó a 13 millones de hombres, mujeres y niños entre la segunda mitad del siglo XVI y finales del siglo XIX. #ElMuseoDelOroTambiénEsAfro Producción Banco de la República Realización Santiago Martínez

  • As a teenager during my first internship at the Los Angeles County Museum of Art, a diversity initiative for inner-city youth, the education curator enthusiastically asked, “Who here would like to be an art historian!?” Like all the other Black and Brown inner-city kids, I laughed inside. My response was not due to a lack of art appreciation; I grew up in a family of refugees who were all self-taught artists back home in El Salvador, who taught me to draw before I learned to read. Nor was my response rooted in apathy for creative expression, for I was involved in art and theater from my elementary through my high school years. Art was such a natural part of my life that the idea of studying it seemed wasteful to me. The truth was, the internship was one of two jobs I was working to financially help my family and pay for my first year of community college. Hidden even deeper, though, I believed the museum world was not my world. I was a guanaca (the appellative given to people from El Salvador) whose family fled war and remained invisible in mainstream US Latinx history and culture. I was also from the hood—in my case Compton, California, a city made notorious by gangsta rap and police brutality. I believed that people like me guarded the art on the museum walls, cleaned the floors and bathrooms for visitors, and served the food at the high-priced café. People who looked like me, who came from where I did, did not determine what art could be, nor could we afford to buy it. We certainly did not write the history of art, for if we had, we would see ourselves represented on the walls.

  • Ce travail s’intéresse à la population trans MtF latino-américaine issue des secteurs populaires. Le travail a pour objectifs de (1) connaître les normes de genre du milieu d’origine de cette population (2) comprendre le lien du milieu d’origine avec leur parcours dans l’identité trans (3) examiner les parcours migratoires et comprendre leur très forte inscription dans la prostitution. L’enquête de terrain a été réalisée principalement en France et en Espagne. Concernant le cheminement identitaire, la recherche montre le poids de la formation sociale du milieu d’origine, et particulièrement le poids des normes relatives au genre dans les milieux populaires (hétéronormativité, homophobie, sanction des masculinités déviantes). Cette imbrication classe/sexe situe les personnes dans la position sociale marginale et stigmatisée de la prostitution. L’article apporte un éclairage sur cet environnement, où l’imaginaire festif côtoie l’ordinaire des violences. L’expérience migratoire, très valorisée dans le pays d’origine, est examinée. Le type de liens tissés avec la famille, et les difficultés liées à l’isolement linguistique et à la solitude sont abordés.

  • Compuesta por 355 obras de arte de naturaleza muy variada, la exposición en sala y ahora impresa busca visibilizar, dignificar, valorar y difundir los legados civilizatorios, reativos, culturales, económicos, sociales, políticos, tecnológicos, ambientales e históricos de los pueblos del África occidental y de sus descendientes en la construcción de Antioquia. Además, este catálogo pretende ubicar en las manos del público, y de los especialistas en museos y en estética, el de-bate sobre las encrucijadas que encierra la representación museal de las obras artísticas y de las culturas de los pueblos afroamericanos fraguados en el seno de las dinámicas esclavistas, imperiales y coloniales.

  • Written by one of the foremost scholars of African art and featuring more than 125 color images, Postcolonial Modernism chronicles the emergence of artistic modernism in Nigeria in the heady years surrounding political independence in 1960.

  • Gloria Anzaldúa a délibérément écrit certains mots et certaines phrases en espagnol-chicano tout au long de cet article, choisissant pour des raisons politiques et esthétiques de produire un texte qui s’adresse à tout le monde mais peut être compris à des niveaux différents. Elle travaille ainsi aussi bien avec l’intelligibilité qu’avec la non-intelligibilité, liées au vécu et au positionnement social de chacun-e, au-delà de la langue elle-même. Pour tenter de respecter ce travail sur l’intelligibilité, nous avons procédé de la manière suivante. Dans certains cas, Anzaldúa a écrit une expression en espagno-chicano puis l’a traduite en anglais, nous avons alors procédé de la même manière. Dans les autres cas, nous avons laissé tel quel dans le corps du texte, ce qu’Anzaldúa a écrit en espagnol-chicano. Cependant, pour placer cette langue sur le même plan d’intelligibilité que l’anglais, pour le lectorat francophone, nous en proposons une traduction, en note. Enfin, nous avons ajouté un certain nombre de notes de contextualisation. Ainsi, les notes en lettres correspondent aux notes originales d’Anzaldúa, tandis que les notes en chiffres correspondent à la traduction de l’espagnol-chicano vers le français et enfin, les notes en i, ii, iii etc, correspondent aux notes des traductrices. Par ailleurs, deux termes sont particulièrement délicats à traduire : « raza » et « mestiza ». Au Mexique, le mot « raza » est polysémique. Au sens strict, il signifie « race », cependant son emploi actuel et courant n’implique aucune connotation raciale, mais plutôt populaire et affective (ma bande, mon quartier, ma famille élargie, les gens avec qui je m’identifie…), ce qui conduirait à le traduire plutôt par « peuple ». Nous avons donc choisi des traductions contextualisées, utilisant « race » pour la pensée de Vasconcelos (prise dans les courants racialistes internationaux des années vingt), et « peuple » pour la pensée d’Anzaldúa elle-même (qui l’utilise dans un sens actuel et populaire). L’ensemble de son œuvre montre amplement le caractère non-essentialiste de sa pensée, ce qui nous conforte dans ce choix. Enfin, le concept de « mestiza » (ou « mestizo ») possède au Mexique des connotations complexes et contradictoires. Il désigne une personne dominant-e par rapport à l’Indien-ne, mais aussi une personne dominé-e par rapport aux gens d’origine espagnole-européenne. Simultanément, il constitue l’archétype (positif) de la nouvelle « race » forgée dans l’ancienne colonie européenne transfigurée par l’indépendance puis la révolution. Pour Anzaldúa, le mot possède toutes ces connotations, mais signifie également la pluralité à l’intérieur de chaque être humain. Nous avons donc choisi de ne pas traduire le concept de « mestiza », qu’elle-même a décidé d’utiliser en espagnol, son article visant précisément à expliquer le sens nouveau qu’elle donne à la « nouvelle métisse ».

  • Qu'est-ce que l'identité noire ? Contre ceux qui en défendent une conception ethniciste ou nationaliste, ou qui cherchent avant tout à en préserver l'authenticité, Paul Gilroy montre comment cette identité complexe, nourrie d'une diversité irréductible, repose sur l'existence d'un espace transnational en constante transformation, qui n'est pas spécifiquement africain, américain, caribéen ou britannique, mais tout cela à la fois : l'Atlantique noir. L'objet de ce livre est de donner à voir l''existence de cet espace constitué dès le XVIIe siècle à travers l'histoire de la traite négrière, de retracer ce réseau serré de relations, d'échanges à multiples sens, d'idées, d'hommes et de productions culturelles. Au fil de pages peuplées par les figures les plus hétéroclites, de Spike Lee à Walter Benjamin en passant par les Jubilee Singers, Richard Wright, W. E. B. Du Bois, Jimi Hendrix, Wynton Marsalis et Hegel, l'espace et le temps singuliers de l'Atlantique noir prennent forme et consistance de façon saisissante. La musique, mode d'expression de prédilection d'une culture enracinée dans l'expérience des terreurs indicibles de l'esclavage, avec ses usages et ses allers-retours inattendus d'un bord à l'autre de l'Atlantique, joue ici un rôle de premier plan. Le retour sur l'esclavage et son caractère intrinsèquement moderne, opéré dans les oeuvres de nombreux écrivains noirs, ouvre par ailleurs à une relecture critique de la modernité, d'une portée universelle, au même titre que la critique des conceptions figées et réductrices de l'identité.

  • La presencia del arte contemporáneo latinoamericano en el mundo contemporáneo, es concebida y movilizada a través de la existencia de una diáspora que ha perdido toda clase de arraigo en sus lugares territoriales definitorios. Los lenguajes que éstas muestran tienden ha consolidar un gusto por la simultaneidad, por la complejidad, por lo marginal, por lo oculto, y por las relativizaciones de una realidad que se pregunta constantemente por el sentido de su ser. Las diásporas artísticas ubican sus propuestas en medio de una serie de posicionamientos, para tratar de narrar las historias y las situaciones, que comenzaron ha emerger, en el momento en el cual se establece una dominante epocal, observadora y tolerante de la diversidad de los márgenes. El arte de las diásporas parecía configurar un nuevo espacio de representación, digno de ser atrapado o explicado dentro de nuevas posiciones teóricas, que manifestarán el por qué de unas de estas expresiones, muchas veces imposibles de traducir ante la pérdida del sentido del monopolio cultural occidental en el campo de las artes. De allí que, se hallan confeccionado en el mundo contemporáneo tardocapitalista y posindustrial, posiciones teóricas que incluyentes y estudiosas de la alteridad, de las diferencias, de la otredad, de la subalternidad. Para partir de los enunciados fragmentarios y múltiples mostrados por las teorías multiculturalistas y por la Crítica Poscolonial. Un intento de dotar de sentido a una realidad global, que ha perdido las fronteras. En este sentido, el espectro teórico que estudia a la diversidad observa a las culturas, a sus contaminaciones y desplazamientos desde diversas perspectivas, las cuales han incido en el mundo del arte contemporáneo en la formulación de un Nuevo Internacionalismo incluyente de las representaciones de los otros. El arte latinoamericano en este contexto se encuentra convocado, invitado, para legitimar la puesta en escena de unas realidades que pretenden ser cercanas, y a su vez alejadas, por las tensiones producidas por las propuestas discursivas del multiculturalismo y del poscolonialismo, en sus lecturas sobre las culturas como opuestas y no como parte integrante de una metacultura global. Las diásporas se ubican a partir de la deconstrucción de los postulados mayores de estas nuevas tendencias teóricas, para evidenciar su localidad desde la particularidad de sus legados e historias. Espacio en el cual, los artistas pertenecientes a la diáspora contemporánea, han demostrado responder con presteza a la cantidad de situaciones presentadas en medio de una realidad interconectada desde tiempos anteriores, y que en la actualidad manifiesta la exacerbación de las relaciones con lo que se pretende diferente.

  • According to the 2000 census, Latinos/as have become the largest ethnic minority group in the United States. Images of Latinos and Latinas in mainstream news and in popular culture suggest a Latin Explosion at center stage, yet the topic of queer identity in relation to Latino/a America remains under examined. Juana María Rodríguez attempts to rectify this dearth of scholarship in Queer Latinidad: Identity Practices, Discursive Spaces, by documenting the ways in which identities are transformed by encounters with language, the law, culture, and public policy. She identifies three key areas as the project’s case studies: activism, primarily HIV prevention; immigration law; and cyberspace. In each, Rodríguez theorizes the ways queer Latino/a identities are enabled or constrained, melding several theoretical and methodological approaches to argue that these sites are complex and dynamic social fields. As she moves the reader from one disciplinary location to the other, Rodríguez reveals the seams of her own academic engagement with queer latinidad. This deftly crafted work represents a dynamic and innovative approach to the study of identity formation and representation, making a vital contribution to a new reformulation of gender and sexuality studies.

  • La exposición Presencia negra en Bogotá hace parte de la investigación en Migraciones que desde la Universidad Nacional lideran Mercedes Angola y Maguemati Wabgou. Está presente en el Claustro de San Agustín, como un homenaje a los hacedores de grandes historias que se desconocen, personas cuyos aportes a la construcción de la sociedad colombiana y a la consolidación de la identidad nacional desde diversas perspectivas y disciplinas ha invisibilizado la historia colombiana. En compañía de sus protagonistas, acompáñenos en la formulación de nuevas preguntas de investigación en torno al aporte de la gente negra a Colombia y a países vecinos, pues no solo se ha producido migración interna sino, "fuga" hacia otros países. Invitados : Mercedes Angola, artista plástica e investigadora y Maguemati Wabgou, sociólogo e investigador.

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 05:00 (EDT)