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Catalogue d'exposition avec des textes de Loft, Igloliorte et Croft. Galerie d'art d'Ottawa.
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Videogames’ ability to depict cultural iconographies and characters have occasionally led to accusations of insensitivity. This article examines gamers’ reactions to a developer’s use of Africans as enemies in a survival horror videogame, Resident Evil 5. Their reactions offer insight into how videogames represent Whiteness and White privilege within the social structure of ‘‘play.’’ Omi and Winant’s (1994) racial formation theory notes that race is formed through cultural representations of human bodies organized in social structures. Accordingly, depictions of race in electronic spaces rely upon media imagery and social interactions. Videogames construct exotic fantasy worlds and peoples as places for White male protagonists to conquer, explore, exploit, and solve. Like their precursors in science fiction, fantasy, and horror, videogame narratives, activities, and players often draw from Western values of White masculinity, White privilege as bounded by conceptions of ‘‘other,’’ and relationships organized by coercion and domination.
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Nunatsiavut, the Inuit region of Canada that achieved self-government in 2005, produces art that is distinct within the world of Canadian and circumpolar Inuit art. The world's most southerly population of Inuit, the coastal people of Nunatsiavut have always lived both above and below the tree line, and Inuit artists and craftspeople from "Nunatsiavut have had access to a diverse range of Arctic and Subarctic flora and fauna, from which they have produced a stunningly diverse range of work. Artists from the territory have traditionally used stone and woods for carving; fur, hide, and sealskin for wearable art; and saltwater seagrass for basketry, as well as wool, metal, cloth, beads, and paper. In recent decades, they have produced work in a variety of contemporary art media, including painting, drawing, printmaking, photography, video, and ceramics, while also working with traditional materials in new and unexpected ways. SakKijâjuk: Art and Craft from Nunatsiavut is the first major publication on the art of the Labrador Inuit. Designed to accompany a major touring exhibition organized by The Rooms Provincial Art Gallery of St. John's, the book will feature more than 80 reproductions of work by 45 different artists, profiles of the featured artists, and a major essay on the art of Nunatsiavut by Heather Igloliorte. SakKijâjuk - "to be visible" in the Nunatsiavut dialect of Inuktitut - provides an opportunity for readers, collectors, art historians, and art aficionados from the South and the North will come into intimate contact with the distinctive, innovative, and always breathtaking work of the contemporary Inuit artists and craftspeople of Nunatsiavut
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"Le paradigme hégélien de la reconnaissance, admirablement critiqué par Frantz Fanon dans l'œuvre phare à laquelle ce livre rend hommage, est aujourd'hui évoqué, sous sa forme libérale, dans les débats entourant l'autodétermination des peuples colonisés, notamment les peuples autochtones d'Amérique du Nord. Politologue et militant, membre de la Nation dénée du Nord-Ouest du Canada, l'auteur reprend ici la critique fanonienne et démontre en quoi cette reconnaissance ne fait que consolider la domination coloniale. Cet ouvrage de théorie politique engagée appelle à rebâtir et redéployer les pratiques culturelles des peuples colonisés sur la base de l'autoreconnaissance, seule voie vers une réelle décolonisation. Penseur marxiste, Coulthard sait que le marxisme ne peut s'appliquer tel quel à la lutte des Autochtones, mais il en souligne la contribution potentielle et signe ici un véritable traité de combat décolonial et anticapitaliste."
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Sioui has produced a work not only of metahistory but of moral reflections. He contrasts Euroamerican ethnocentrism and feelings of racial superiority with the Amerindian belief in the "Great Circle of Life" and shows that human beings must establish intellectual and emotional connections with the entire living world if they hope to achieve abundance, quality, and peace for all. Sioui is proud to be a Huron and an Amerindian and is fully aware of the injustices that the aboriginal people of North America have suffered - and continue to suffer - at the hands of Euroamericans. He is convinced that the greatness of Amerindians does not lie only in the past but that Native peoples will play an even more important role in the future by providing ideas essential to creating aviable way of life for North America and the world. While this is a polemical work, Sioui never descends to recrimination or vituperative condemnation, even when that might seem justified. Instead, he has given us a polemic that is written at the level of philosophy.
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"Qui était Zacharie Vincent, aussi connu, à l'époque, sous le nom de Tehariolin? Peu de gens le savent. Il s'agit pourtant d'une figure incontournable, considérée comme le premier peintre autochtone moderne. Le présent ouvrage, signé par l'historienne de l'art Louise Vigneault, lève donc le voile sur ce peintre et chef de guerre wendat, longtemps tombé dans l'oubli, qui a considérablement marqué le 19e siècle. Zacharie Vincent (1815-1886) a suscité la fascination, avec ses allures d'artiste bohème, sa dégaine de clochard mêlée à ses ornements d'apparat, la singularité de ses autoportraits. La légende entourant celui que l'on appelait le " dernier des Hurons " a attiré les regards sur la petite communauté de la Jeune-Lorette (aujourd'hui Wendake), pour ensuite révéler la fierté et la résilience du peuple wendat. Des peintres canadiens, tels Antoine Plamondon et Eugène Hamel, ont réalisé des portraits de Vincent, puis des photographes comme Louis-Prudent Vallée ont immortalisé son image. Zacharie Vincent : une autohistoire artistique nous plonge au cour de la vie et de l'ouvre d'un artiste énigmatique qui a laissé en héritage des témoignages essentiels sur sa nation, en équilibre entre la tradition et la modernité."-- Quatrième de couverture
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"D'horizons et d'estuaires. Entre mémoires et créations autochtones est une collection d'essais réunissant les voix de 16 artistes, commissaires, historien·ne·s de l'art et travailleur·se·s culturel·le·s autochtones, tant francophones qu'anglophones, œuvrant dans les territoires que l'on nomme Québec. Faisant suite à des expositions, des performances, des résidences d'artistes et des discussions mises en place lors du Projet Tiohtià:ke (2017-2019) du Collectif des commissaires autochtones, ces textes honorent les relations et les affinités qui sont au cœur de ces pratiques en arts visuels. Quelle place occupe actuellement les créations visuelles autochtones dans la société québécoise? Comment les créateur·trice·s imaginent-iels le futur de leurs expressions culturelles? Par la diversité des points de vue et les enjeux soulevés par ces écrits, ce livre pose des questions cruciales sur l'avenir des arts autochtones et ouvre la porte à des dialogues longtemps attendus au Québec qui, nous l'espérons, permettront de créer de réels changements positifs. Il est maintenant temps de plonger dans ces imaginaires collectifs éblouissants et de nager dans les eaux ondulantes de ces mémoires résilientes. Le texte est accompagné de 28 photographies d'œuvres d'artistes autochtones."-- Fourni par l'éditeur
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Over a twenty-year period, renowned artists such as Edward Poitras, Robert Houle, Jim Logan, Kent Monkman, among others, appropriate renowned colonial landscape paintings and art historical canonical works, and then alter them to include First Nations narratives, as methods of critiquing the exclusionary nature of grand colonial narratives and their associated historical, art historical and, by extension, anthropological discourses. Using counter-appropriation as an artistic strategy, they critique: the West's disregard for First Nations histories in North America; Art History's past failures to classify their art objects as Fine Art; and contemporary cultural constructions of "Indianness" originating from colonial history and ideologies about the "Vanishing Race." With their works, the artists offer their viewers insight into First Nations histories and stories, thereby enriching the multiple narratives and pluralist discourses existent in North America.
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Published in conjunction with the exhibition of the same name, on view at the Heard Museum in Phoenix, Arizona, from October 6, 2007, to April 27, 2008, and at the George Gustav Heye Center, National Museum of the American Indian, in New York, New York, from May 26 through September 30, 2008
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Ainsi en fut-il de la restitution en août 1999 par le Royal Ontario Museum des ossements des quelque cinq cents ancêtres wendats, illégalement extirpés en 1947 de la fosse commune d'Ossosané par les anthropologues du Musée, ceux-ci ayant retracé le site du dernier grand festin collectif en Huronie en 1636 (alors décrit par le père Brébeuf), ce qui a donné lieu à la résurgence d'une nouvelle grande fête des Morts, célébrée de de manière privée par les quatre nations de la diaspora wendatte, sous les offices d'un chamane iroquois traditionnaliste parlant encore le huron ; - la réactivation de ces types de créations comme manifestation authentiquement artistique autochtone et surtout comme mécanismes culturels de transmission aux jeunes générations. Bien que l'habitation nomade de la tente, sous la forme de tipi, fût celle qui a été la plus diffusée médiatiquement (entendre le cinéma hollywoodien et les séries de télévision des cow-boys et des Indiens des années cinquante et soixante pour identifier ceux qu'on appelle, depuis l'erreur d'identification du continent par Christophe Colomb, les « Indiens »), sa stylisation par une découpe moderne se démarquait des nombreuses reproductions kitsch. La performance An Indian Act Shooting the Indian Act (1997) de l'artiste Lawrence Paul Xuweluptun, dont rendait compte une projection vidéo accompagnant son exposition « Coulour Zone », en avril 2000, au Centre Saydie Bronfman de Montréal, et l'installation multimédia Resig/Nation (1999) de l'artiste saulteux et métis Edward Poitras au Lieu, Centre en art actuel, à Québec à l'hiver 2000, étaient radicales
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Le territoire (Nitaskinan), dans la pensée autochtone, est une notion centrale et pluridimensionnelle ; elle induit un territoire historique, géographique et politique revendiqué ainsi qu'un territoire cosmologique inscrit au cœur de rites et de croyances ancestrales. C'est l'articulation et l'harmonisation de ce territoire pluriforme que l'artiste atikamekw Eruoma Awahish entreprend de présenter dans son œuvre. Ce mémoire adresse la manière dont l'artiste représente le territoire, à la fois dans une volonté d'ancrage traditionnel et de réactualisation contemporaine dans une perspective diachronique. L'artiste déploie une esthétique franche et colorée, elle s'emploie à renverser les codes du colonialisme et développe des stratégies afin de contribuer aux revendications et à l'affirmation territoriale des Premières Nations. Par le biais d'une production artistique politisée, Eruoma Awashish applique un prisme décolonisateur ; elle réinvestit une histoire coloniale et offre aux symboles et aux narrations autochtones une place centrale et active. Ce mémoire met subséquemment l'emphase sur la capacité des nations autochtones à s'adapter, à s'auto-définir et à s'auto-représenter. Les artistes se font les témoins et les vecteurs d'une affirmation et d'une recherche de souveraineté qui, chez Awashish, est à la fois visuelle, culturelle et territoriale. Déployant une approche interdisciplinaire, à l'image de la production de l'artiste, ce mémoire prend pour appui les écrits de penseur.se.s autochtones afin de présenter la démarche et la production d'une artiste ancrée dans un contexte contemporain complexe soumis à de nombreuses revendications politiques, culturelles et territoriales. Si les œuvres d'Awashish transmettent et diffusent ces revendications, elles sont toutefois, avant tout, le reflet de croyances et d'une histoire territoriale atikamekw.
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Cet article se penche sur la portée philosophique du projet intitulé Jardins éphémères, un ensemble de onze jardins temporaires réalisés dans le cadre des activités visant à célébrer le 400ₑ anniversaire de la fondation de la ville de Québec au cours de l’été 2008. L’organisation, les intentions et les principaux thèmes sous-jacents aux différents projets sont présentés dans leur ensemble. Le jardin intitulé « Wampum 400 », créé par deux artistes autochtones, Domingo Cisneros et Sonia Robertson Piekuakamilnu, fait l’objet d’un commentaire plus long. L’analyse montre que le projet Jardins éphémères dans son ensemble incarnait les principaux enjeux actuels du jardin en ville. Certains aspects reconduisaient la vision idéelle du jardin, d’autres satisfaisaient la logique touristique de l’événement et d’autres, enfin, développaient une position critique qui concerne la réappropriation d’un espace à usage collectif et, du coup, interrogeaient les fondements épistémologiques et ontologiques du « jardin ».
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De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d'exposition de 12 œuvres d'artistes autochtones dans le cadre du Concours d'œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l'ensemble de cette exposition afin d'en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires
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« Tantôt présents ou documents figurés, tantôt considérés comme de la monnaie, les wampums sont des colliers de perles fabriquées de coquillages marins qui étaient utilisés par les Indiens du Nord-Est de l'Amérique et les Européens. Si des milliers de wampums sont cités dans les archives coloniales, peu d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous et la tradition de leur échange a depuis longtemps cessé d'être pratiquée. Les wampums du Musée de la civilisation de Québec ont été acquis à la fin du XIXe siècle dans un contexte particulier où collectionneurs et numismates s'arrachaient les objets amérindiens et où ceux-ci, pour diverses raisons, acceptaient de s'en départir. Cette collection n'avait jamais été étudiée, ni par les historiens, ni par les ethnologues ou par les muséologues. Par un raisonnement critique, en avançant toujours avec prudence et sans jamais céder à la simplification, Jonathan C. Lainey soulève les difficultés et les problèmes reliés à leur étude et à leur interprétation. Il reconstitue méticuleusement les différentes étapes de la vie des objets, leur muséification et le sens qu'on peut leur donner aujourd'hui. Plus qu'une simple étude sur les wampums, cet ouvrage a le mérite de porter un regard sur certaines réalités historiques relatives à la culture matérielle d'un groupe amérindien de la région de Québec, les Hurons de Lorette. Ce sont le rapport à l'Autre, les processus d'appropriation et les transferts culturels qui sont abordés par l'étude de la transformation de l'usage des wampums, devenus aujourd'hui objets de musée. Reposant sur une ethnographie et une iconographie riches et détaillées, ce livre constitue une contribution importante aux études ethnohistoriques et aux études amérindiennes de l'Amérique du Nord-Est. »-- Résumé de l'éditeur.
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La crise d'Oka marque un véritable moment de rupture dans lesrelatlons entre les premiers peuples et les colonies de peuplement. Dans les suites immédiates de l’échec de l’accord du lac Meech, ce long siège armé de 78 jours rend visible une présence autochtone que les sociétés québécoise et canadienne avaient imaginée évanouie. Àl’inverse, l’opposition à l’empiétement mis en œuvre à Kanehsatàke età Kahnawàke réactive une longue histolre de résistance au projet colonial d'appropriation des terres et d'effacement des peuples autochtones. Ce livre envisage la crise d'Oka, ou la résistance à Kanehsatàke, comme un espace de focalisatlon où se donne à voir larelation globale entre les peuples. Qu'est-ce que l'événement fait surgir, transforme et crée, dans la scénographie du siège, mais aussi dans les films documentaires et les récits littéraires, autochtones et allochtones? À l'heure où une nouvelle génération revient sur cette crise politique aux enjeux non résolus, ce livre ouvre un espace où entrent en relation et s'affrontent différents intérêts, connaissances et expressions relatifs à ce conflit territorial. Il engage une réflexion épistémologique essentielle à un processus de décolonisation aussi impératif qu'exigeant.
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Nadia Myre is a multidisciplinary artist whose work explores themes of language, culture, and memory, and who sources the culture of her Algonquin ancestors as a way of confronting contemporary realities. This monograph provides a comprehensive first look at this Montreal-based artist's remarkable career
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Encounters on Contested Lands analyzes films, plays, visual art, and protest marches by Indigenous artists in Québec, Canada, to explore the performance of cultural identity, sovereignty, and nationhood in Québec's independence movement
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"This dissertation traces the presence of installation-based practices among artists of Aboriginal ancestry via selected exhibitions across Canada. It begins with a methodological perspective on Canadian art history, federal law, and human science, as a means of establishing a contextual backdrop for the art under consideration. The rise of an Indian empowerment movement during the twentieth century is then shown to take on an international voice which had cultural ramifications at the 1967 Canadian International and Universal Exhibition. Nascent signs of a multi-mediatic aesthetic are distinguished in selected works in Canadian Indian Art '74, as well as through Native-run visual arts programs. First Nations art history is charted via new Canadian art narratives starting in the early 1970s, followed by the development of spatial productions and hybrid discourses in New Work By a New Generation in 1982, and Stardusters in 1986. The final chapter opens with a history of installation art since the Second World War, as related to the pronounced presence of multi-mediactic works in Beyond History in 1989. Post-colonial and postmodern theories are deployed to conclusively situate both the artistic and political concerns featured throughout this study, and lead into the analysis of selected installations at Indigena: Contemporary Native Perspectives and Land, Spirit, Power: First Nations at the National Gallery of Canada. These 1992 shows in the national capital region ultimately confirm the maturation of a particular socio-political aesthetic that tested issues of Canadian identity, while signifying Aboriginal sites of difference."--
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1. Approches
- Analyses formalistes (25)
- Approches sociologiques (168)
- Épistémologies autochtones (154)
- Étude de la réception (43)
- Étude des industries culturelles (112)
- Étude des représentations (198)
- Genre et sexualité (181)
- Histoire/historiographie critique (123)
- Humanités numériques (34)
- Méthodologie de recherche décoloniale (35)
2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s
- Auteur.rice (46)
- Auteur.rice autochtone (95)
- Auteur.rice LGBTQ+ (14)
- Auteur.rice noir.e (66)
- Auteur.rice PANDC (143)
- Autrice (220)
- Créateur.rice autochtone (147)
- Créateur.rice LGBTQ+ (28)
- Créateur.rice noir.e (31)
- Créateur.rice PANDC (43)
- Créatrice (119)
- Identités diasporiques (33)
4. Corpus analysé
- Afrique (24)
- Amérique centrale (28)
- Amérique du Nord (331)
- Amérique du Sud (38)
- Asie (71)
- Europe (31)
- Océanie (14)
4. Lieu de production du savoir
- Amérique du Nord
- Afrique (4)
- Amérique centrale (7)
- Amérique du Sud (12)
- Asie (14)
- Europe (26)
- Océanie (13)
5. Pratiques médiatiques
- Études cinématographiques (75)
- Études du jeu vidéo (120)
- Études télévisuelles (80)
- Histoire de l'art (50)
- Histoire de l'art - art autochtone (163)