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Résultats 10 ressources
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Cet ouvrage collectif a comme objectif de mettre en lumière le travail mené par les personnes et les organisations qui s’engagent à construire le futur en devenant des codéveloppeurs, acceptant par là même qu’elles ne possèdent qu’une partie des connaissances nécessaires aux projets qu’elles portent et bâtissent. Pour répondre à des besoins sociétaux de plus en plus complexes, de multiples institutions publiques et privées expérimentent ces nouveaux modes d’action inclusifs, qui consistent à travailler avec les parties prenantes des projets plutôt que de travailler pour celles-ci, afin d’ériger des biens communs et de s’assurer de leur usage. L’innovation collective : quand créer avec devient essentiel explore ces pratiques novatrices qui conjuguent audace, diversité et réalisme. Les projets dont il est question touchent à la ville, à la santé, au droit, au tourisme, au développement international, au commerce, à la technologie et à la recherche. Après avoir traité de l’innovation collective et de ses représentations, le livre aborde ses enjeux et ses échelles d’action, décortique certains dispositifs déployés pour créer avec et discute des rôles des acteurs engagés dans ces démarches. Ensuite, cinq expériences sont analysées par leurs participants, et les derniers textes portent sur les limites et les difficultés associées aux systèmes ouverts. Le présent ouvrage se veut une invitation à parcourir différentes facettes de ces innovations vivifiantes qui façonnent pas à pas l’avenir de la Terre.
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Creative collaboration happens when a creative process is undertaken by two or more individuals, teams, entities, or organizations for a project or challenge of common concern. Typically, the project is too challenging to be undertaken alone; and if done satisfactorily, the outcome is would be both novel and useful. Members can collaborate either physically or remotely through electronic (online creative collaboration) or other means at all or different phases of the project.
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Some see universities as a possible source of solutions to enable a sustainable transition and overcome societal challenges. Findings from three multisite case studies of Desis Labs, FabLabs, and Science Shops shed light on how universities can help empower communities and solve societal challenges locally. Adopting a sociotechnical and flat relational perspective inspired by science and technology studies (STS), we focus on the material and spatial aspects of how these spaces are configured, thereby ensuring practical relevance for policy makers and practitioners. Applying an analytical generalization methodology, we condense the qualitative data into a typology of three ideal space-types (i.e. affording, mediating, and impact-oriented) that represent specific configurations of actors, researchers, students, communities, spaces, infrastructure, equipment, facilitators, etc. The ideal space-types empower communities in different ways, require different resources to create and operate, and translate differently into specific local contexts.
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La recherche partenariale et les différentes appellations qu'elle a prises au cours des ans a connu depuis les années 2000, particulièrement au Canada et au Québec, un essor important. Celui-ci s'explique en partie par la montée en puissance de concepts comme société du savoir et économie du savoir qui ont rapidement été adoptés par les instances étatiques. Ces concepts tablent sur des liens étroits entre la croissance économique des sociétés et la création scientifique. Ce mouvement est accompagné de changements au sein même du processus de production de connaissances par le passage du Mode 1 au Mode 2. Au Québec, la recherche de type partenarial a été confortée par l'adhésion à des modalités de développement socio-économique faisant une place notable à diverses formes de coopération entre les groupes sociaux. Ce travail doctoral vise à mieux cerner la dynamique partenariale qui se déroule au sein de la relation de recherche entre des chercheurs issus du milieu universitaire et des praticiens venant de divers horizons. Afin d'approcher cette connexion chercheurs/praticiens qui se dessine à l'intérieur d'un espace partenarial que nous avons qualifié d'espace de production cognitive, nous avons posé comme hypothèse de départ, à partir d'une revue de littérature et de notre propre expérience de coordonnateur d'alliances de recherches universités-communautés, que : des questions de recherche, des valeurs, des habitudes de travail et des épistémologies occupaient cet espace balisant ainsi la liaison entre les différents participants. Cette hypothèse a été mise à l'épreuve dans le cadre d'une recherche qualitative. Pour ce faire, nous avons choisi d'examiner cinq cas de recherches exemplaires réalisées au sein du Service aux collectivités (SAC) de l'UQAM. Des entrevues semi-dirigées auprès des protagonistes de ces recherches, c'est-à-dire, les chercheurs et chercheuses, les praticiens et praticiennes, les étudiants et étudiantes et les professionnelles du SAC qui assurent la coordination des projets, nous ont permis de décrypter le dispositif partenarial. Par une analyse de contenu des comptes-rendus intégraux des entretiens, nous avons ainsi pu dégager les principales composantes de ces relations partenariales. Cette démarche nous a conduit à revoir notre hypothèse de départ. Nous postulons maintenant que : l'espace de production cognitive est alimenté par un couple question-hypothèse porté tant par les chercheurs que les praticiens; que cette activité de recherche repose sur différentes compétences tant théoriques que pratiques mises de l'avant par les partenaires aux diverses étapes de la recherche; que ces partenaires participent à une communauté de valeurs et d'aptitudes relationnelles tout en partageant le même référent épistémologique. L'ensemble de ces composantes constitue le socle sur lequel le processus partenarial se construit, se déploie et permet ainsi l'élaboration de nouvelles connaissances. ____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : recherche partenariale, recherche-action, community based research, réflexivité, compétences.
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This article serves as an introduction to the FQS special issue "Participatory Qualitative Research." In recent years there has been a resurgence of interest in participatory research strategies. The articles in this special issue come from different disciplines. Against the background of concrete empirical research projects, they address numerous conceptual considerations and methodological approaches. After reading the contributions, and engaging with the authors' arguments, we were prompted to focus in particular on those areas in which further work needs to be done. They include, on the one hand, fundamental principles of participatory research, such as democratic-theory considerations, the concept of "safe space," participation issues, and ethical questions. And, on the other hand, we focus on practical research considerations regarding the role and tasks of the various participants; specific methodological approaches; and quality criteria—understood here in the sense of arguments justifying a participatory approach. Our aim is to stimulate a broad discussion that does not focus only on participatory research in the narrower sense. Because participatory methodology poses certain knowledge- and research-related questions in a radical way, it has the potential to draw attention to hitherto neglected areas in qualitative methodology and to stimulate their further development.URN: http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:0114-fqs1201302
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L’approche collaborative en recherche est une méthodologie d’intervention qui s’inscrit dans le cadre plus général des recherches dites participatives. Sa visée est celle d’un rapprochement entre le milieu de la recherche et celui de la pratique professionnelle. Dans cette perspective, elle suppose d’offrir à des praticiens des activités réflexives susceptibles de leur servir d’occasion de développement professionnel dans le cadre d’une démarche formelle de production de savoirs scientifiques. Cette réflexion rétrospective sur ma démarche doctorale (CRSH 2005-2008) a pour but d’examiner la façon dont j’ai traduit cette double visée de l’approche collaborative auprès d’un groupe d’enseignantes du primaire. Plus précisément, j’examine les implications méthodologiques de ce type de recherche en illustrant comment elles se sont concrétisées dans le cadre de la démarche d’exploration sur le terrain. Pour ce faire, je rapporte des événements situés « en coulisses » desquels j’ai dégagé des savoirs d’expérience pour le chercheur collaboratif.
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L’article tente dans une première partie de produire un classement des pratiques de recherche partenariale ayant cours dans les universités au Québec. Sans être une investigation systématique, elle puise dans diverses disciplines des sciences sociales et dans divers domaines de recherche. Deux tendances semblent se dessiner, l’une plus proche de la vision émancipatrice et l’autre plus axée sur les stratégies d’innovation sociale. La réflexion se poursuit par l’exposition, en seconde partie d’article, de trois nouveaux enjeux engendrés par l’essor de la recherche partenariale au sein de l’institution universitaire : la tension avec la recherche traditionnelle, la démarcation du savoir universitaire des autres types de savoirs et, enfin, l’éthique de la recherche.
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REAP stands for Reciprocity, Externalities, Access and Partnership. It is about how a University can work with communities for mutual benefit as well as the enhancement of the city, town or district in which the University is located
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This paper explores the governance of social innovation throughout quadruple helix partnerships between civil society, business, government, and academic actors. Particular attention is given to the participation of universities in such partnerships as an expression of public and community engagement under broad third mission goals. Quadruple helix partnerships may favour the governance of projects aiming at social innovation, but conflicts and drawbacks can hinder the alignment of partners’ contributions. To tackle this issue, we develop a conceptual framework that points out four key phases in such governance processes: i) identification of a common nexus, ii) building of shared strategies, iii) implementation, and iv) learning feedbacks. We apply this framework to three Italian projects under the new EU Urban innovative actions’ program. Different alignment pathways and barriers in the governance process emerge and are discussed. The results show that quadruple helix partnerships for social innovation work smoothly if a solid common nexus between partners is in place. The University is used as a focal actor to understand the mechanisms underpinning each phase and the role it may play in such partnerships.
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