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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?
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La Société du Quartier de l’innovation de Montréal est un Organisme à but non lucratif (OBNL) qui a été créé en 2013 à l’initiative de l’Université McGill et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). NOTRE MISSION Cultiver un écosystème d’innovation unique au cœur de Montréal et favoriser la collaboration et l’expérimentation entre les milieux académique, entrepreneurial et citoyen dans le but de créer des retombées positives pour la société. Notre connaissance du milieu de l’innovation québécois est exhaustive
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Dans le cadre des parcours d’accompagnement et des services offerts par la MIS, nous proposons divers outils afin de soutenir les porteurs et porteuses de projets à fort impact social et environnemental.
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L’histoire a vu son lot d’innovations technologiques et scientifiques dans toutes les époques et sphères de la société : dans les sciences, le transport, les infrastructures, la technologie, les communications et d’autres encore.
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La necessité d'innover dans le secteur public. Peut‐on faire plus avec moins? C’est une question qui ne date p as d’hier pour les gouvernements. Malgré l’embellie budgétaire récente, le gouvernement du Québec devra faire plus avec moins dans les décennies à venir. La trop lente croissance économique ainsi que le vieil lissement de la population vont le forcer à changer ses façons de faire. Pour pouvoir faire plus avec moins , il va devoir innover. Certaines de ses organisations ont démontré que c’était possible. Il faut passer de ces réussites ponctuelles à un modèle plus général. C’est ce qui est proposé en conclusion de ce rapp ort de recherche. Un tel changement nécessite de repenser un certain nombre d’habitudes, de règles, de structures. Il n’est pas question ici d’une révolution administrative mais de changer graduellement et itérativement, que des innovations entraînent les suivantes. C’est ce que font de nombreux gouvern ements en ce moment pris dans la même problématique d’ensemble. De plu s, les technologies de l’inform ation vont aider à innover. Elles rendent possible une meilleure coordination d’ensemble que par le passé et peuvent libérer d’un certain nombre de tâches les employés du secteur public. Outre faire plus avec moins en changeant les façons de faire, il pourrait être aussi possible de mieux faire en innovant. Ce que ce rapport propose en conclusion est un modèle d’innovation dans le secteur public basé sur une recensi on importante des écrits et un travail empirique sur les prix de la gestion innovatrice qui poursuit n os publications antérieures (Bernier, Hafsi et Deschamps, 2013 et 2015). Nous proposons ici une analyse par ticulière des données sur le Québec que nous avons mises à jour pour lan cer la proposition qui suit. Il est présumé que l’innovation dans le secteur public peut con tribuer à améliorer la qualité des services et la capacité de faire face aux enjeux des organisations qui s e heurtent aux turbulences de l’évolution de la société et de l’économie. « L’innovation est l’ensemble du processus se déroulant depuis la naissance d’une idée jusqu’à sa matérialisation. Un État innovant est un État favorisant la naissance de nouvelles idées et les mettant en œuvre pour améliorer son organisation e t ses façons de faire. Un État performant au service de l’intérêt commun et du bien‐être de la population doit être un État innovant. » (Gouvernement du Québec, 2015, p. 80). Le plan économique du Québec présenté en mars 2016 énumérait si x objectifs. Le premier est le maintien de l’équilibre budgétaire et le deuxième est l’établissement de la croissance des dépenses en fonction de la capacité de payer des contribuables, en priorisant les deux grandes missions de l’État québécois, l’éducation et la santé. Le budget 2017 poursuit dans la même v eine. Le gouvernement consacre aux missions « Santé et services sociaux » ainsi que « Éducation et culture » 60 des 100 milliards de dollars qu’il dépense en 2016‐17 1 et ils doivent faire partie de la solution. On prévoit mainten ir l’équilibre budgétaire au cours des prochaines années en contrôlant le rythme d’augmentation des dépenses. Pour ce faire, on peut augmenter les contrôles, comme ce fut souvent le cas dans le passé, mais cette méthode a démontré ses limites. On pourrait aussi faire les choses autrement. En d’autres mots, on pourrait innover. Mulgan et Albury (2003) , dans un texte qui a été beauc oup cité, suggèrent qu’une innovation réussie est « the creation and implementation of new processes, products, services and methods of delivery which result in significant improvements in outcomes efficiency, effectiveness or quality ».
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Nouveaux arrangements sociaux, organisationnels ou institutionnels ou encore nouveaux produits ou services ayant une finalité sociale explicite résultant, de manière volontaire ou non, d’une action initiée par un individu ou un groupe d’individus pour répondre à une aspiration, subvenir à un besoin, apporter une solution à un problème ou profiter d’une opportunité d’action afin de modifier des relations sociales, de transformer un cadre d’action ou de proposer de nouvelles orientations culturelles. En trouvant preneur, les innovations sociales ainsi amorcées peuvent conduire à des transformations sociales.
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Sous cette vedette de sujet, on trouve les documents sur le changement qui a été effectué par une organisation ou une communauté, dans son approche ou dans ses pratiques, en vue de favoriser le mieux-être des individus et des collectivités ou de trouver une solution à un problème social en sortant des pratiques courantes.
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Employer cette subdivision de sujet, suivie si nécessaire d'un nom de lieu, à tous les sujets de noms communs, pour les documents sur l'impact d'un objet, d'une activité, d'un principe ou d'une discipline sur la société et vice versa. Dans le cas des noms des lieux, des catégories de personnes et des groupes ethniques, il faut plutôt employer la subdivision de sujet Conditions sociales
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This webinar includes the experiences and insights from two Québec-based organizations with an approach that yields a huge potential for transformative change.
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Une organisation à but non lucratif vouée au développement des collectivités et des régions du Québec. Le développement collectif se réalise par le croisement des perspectives, des expertises, des savoirs, des regards, des compétences, etc. C’est la contribution d’une diversité d’actrices et d’acteurs qui permet de faire le tour d’une situation et d’agir sur elle pour mener des changements collectifs. Qu’est-ce qu’une partie prenante? Reconnaître les parties prenantes et leurs contributions Les principaux types de contribution Qui réunir quand? – Différentes approches Favoriser l’engagement des parties prenantes
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Qu’est-ce que la mesure d’impact social ? Comment mesurer son impact social ? Pourquoi l’évaluer ? Pour qui ? Quelle approche utiliser ? Qui est actif dans le domaine ? Quelles sont les méthodes ? Quels sont les indicateurs ? Que peut-on dire sur l’impact de l’économie sociale au Québec à ce jour ? Ces questions vous interpellent ? Le TIESS dévoile aujourd’hui un
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L'Université du Québec à Rimouski est une institution d’enseignement francophone du réseau de l'Université du Québec avec deux campus, Rimouski et Lévis.
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