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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 3 – Intensification, pour 3 ans ou moins. Cette étape est prévue pour intensifier une initiative particulièrement porteuse, qui a déjà été déployée en intégrant les principes de l’impact collectif, en l’apportant à plus grande échelle pour viser des retombées plus significatives à l’intérieur d’un quartier ou avec d’autres quartiers. En intensification, un quartier est appelé à mobiliser des stratégies collectives qui visent des changements systémiques. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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Sous cette vedette de sujet, on trouve les documents sur le changement qui a été effectué par une organisation ou une communauté, dans son approche ou dans ses pratiques, en vue de favoriser le mieux-être des individus et des collectivités ou de trouver une solution à un problème social en sortant des pratiques courantes.
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Sous cette vedette de sujet, on trouve les documents sur le changement qui a été effectué par une organisation ou une communauté, dans son approche ou dans ses pratiques, en vue de favoriser le mieux-être des individus et des collectivités ou de trouver une solution à un problème social en sortant des pratiques courantes.
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Qu'est-ce que l'innovation sociale? Comment l'économie sociale est-elle un vecteur d'innovation sociale? Sur le terrain, localement, comment met-on en application l'innovation sociale par l'économie sociale? Visionnez le webinaire pour le découvrir! 00:00 Introduction 02:00 Annie Camus 20:39 Martin Frappier 34:58 Marykim D'Amours Bryson 49:20 Questions et conclusion
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Qu'est-ce que l'innovation sociale? Comment l'économie sociale est-elle un vecteur d'innovation sociale? Sur le terrain, localement, comment met-on en application l'innovation sociale par l'économie sociale? Visionnez le webinaire pour le découvrir! 00:00 Introduction 02:00 Annie Camus 20:39 Martin Frappier 34:58 Marykim D'Amours Bryson 49:20 Questions et conclusion
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Face à la conception technocratique et entrepreneuriale portée par les pouvoirs publics, une approche alternative de l’innovation sociale, plus populaire et moins visible, à travers l’exploration d’initiatives citoyennes. Prenant comme point de départ le constat d’une appropriation institutionnelle de l’innovation sociale, orientée vers la compétitivité et l’efficacité marchande des expériences de l’économie sociale et solidaire, l’ouvrage vise à la fois à apporter un regard critique sur cette conception de l’innovation sociale et à remettre en lumière des expérimentations citoyennes peu prises en compte par les pouvoirs publics. Il montre ainsi la nécessité d’un tournant épistémologique valorisant les dynamiques de coproduction des savoirs et des politiques entre acteurs, chercheurs et institutions.
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Face à la conception technocratique et entrepreneuriale portée par les pouvoirs publics, une approche alternative de l’innovation sociale, plus populaire et moins visible, à travers l’exploration d’initiatives citoyennes. Prenant comme point de départ le constat d’une appropriation institutionnelle de l’innovation sociale, orientée vers la compétitivité et l’efficacité marchande des expériences de l’économie sociale et solidaire, l’ouvrage vise à la fois à apporter un regard critique sur cette conception de l’innovation sociale et à remettre en lumière des expérimentations citoyennes peu prises en compte par les pouvoirs publics. Il montre ainsi la nécessité d’un tournant épistémologique valorisant les dynamiques de coproduction des savoirs et des politiques entre acteurs, chercheurs et institutions.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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Notion sujette à controverses, l’innovation sociale est appropriée au Québec par divers acteurs ayant le changement social à cœur et finit par constituer son propre écosystème. Il se compose, entre autres, des praticiens qui professionnalisent une démarche d’accompagnement à l’innovation sociale : les consultants. Stimulés par la mise en place de modèles sociétaux alternatifs visant une transformation sociale durable, les processus qu’ils élaborent s’écartent des modèles traditionnels de la consultation en management. Considérant cela, ce projet de recherche aborde la question suivante : en quoi consiste la consultation en innovation sociale? Outre la compréhension des principales approches et questions soulevées dans la littérature par les concepts d’innovation sociale et de consultation, ce mémoire explore les tensions et paradoxes inhérents au champ de l’innovation sociale. Il se consacre plus précisément à une étude comparative des pratiques de consultation mises en œuvre par des praticiens de différentes organisations œuvrant dans le milieu, et le rôle qu’ils jouent dans le changement social.
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Ce site donne accès aux résultats du projet « Diagnostic 2020 sur l’expertise québécoise en mobilisation des connaissances » et à une série de fiches qui en soulignent les faits saillants.
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Ce site donne accès aux résultats du projet « Diagnostic 2020 sur l’expertise québécoise en mobilisation des connaissances » et à une série de fiches qui en soulignent les faits saillants.
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En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?
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En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?
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La necessité d'innover dans le secteur public. Peut‐on faire plus avec moins? C’est une question qui ne date p as d’hier pour les gouvernements. Malgré l’embellie budgétaire récente, le gouvernement du Québec devra faire plus avec moins dans les décennies à venir. La trop lente croissance économique ainsi que le vieil lissement de la population vont le forcer à changer ses façons de faire. Pour pouvoir faire plus avec moins , il va devoir innover. Certaines de ses organisations ont démontré que c’était possible. Il faut passer de ces réussites ponctuelles à un modèle plus général. C’est ce qui est proposé en conclusion de ce rapp ort de recherche. Un tel changement nécessite de repenser un certain nombre d’habitudes, de règles, de structures. Il n’est pas question ici d’une révolution administrative mais de changer graduellement et itérativement, que des innovations entraînent les suivantes. C’est ce que font de nombreux gouvern ements en ce moment pris dans la même problématique d’ensemble. De plu s, les technologies de l’inform ation vont aider à innover. Elles rendent possible une meilleure coordination d’ensemble que par le passé et peuvent libérer d’un certain nombre de tâches les employés du secteur public. Outre faire plus avec moins en changeant les façons de faire, il pourrait être aussi possible de mieux faire en innovant. Ce que ce rapport propose en conclusion est un modèle d’innovation dans le secteur public basé sur une recensi on importante des écrits et un travail empirique sur les prix de la gestion innovatrice qui poursuit n os publications antérieures (Bernier, Hafsi et Deschamps, 2013 et 2015). Nous proposons ici une analyse par ticulière des données sur le Québec que nous avons mises à jour pour lan cer la proposition qui suit. Il est présumé que l’innovation dans le secteur public peut con tribuer à améliorer la qualité des services et la capacité de faire face aux enjeux des organisations qui s e heurtent aux turbulences de l’évolution de la société et de l’économie. « L’innovation est l’ensemble du processus se déroulant depuis la naissance d’une idée jusqu’à sa matérialisation. Un État innovant est un État favorisant la naissance de nouvelles idées et les mettant en œuvre pour améliorer son organisation e t ses façons de faire. Un État performant au service de l’intérêt commun et du bien‐être de la population doit être un État innovant. » (Gouvernement du Québec, 2015, p. 80). Le plan économique du Québec présenté en mars 2016 énumérait si x objectifs. Le premier est le maintien de l’équilibre budgétaire et le deuxième est l’établissement de la croissance des dépenses en fonction de la capacité de payer des contribuables, en priorisant les deux grandes missions de l’État québécois, l’éducation et la santé. Le budget 2017 poursuit dans la même v eine. Le gouvernement consacre aux missions « Santé et services sociaux » ainsi que « Éducation et culture » 60 des 100 milliards de dollars qu’il dépense en 2016‐17 1 et ils doivent faire partie de la solution. On prévoit mainten ir l’équilibre budgétaire au cours des prochaines années en contrôlant le rythme d’augmentation des dépenses. Pour ce faire, on peut augmenter les contrôles, comme ce fut souvent le cas dans le passé, mais cette méthode a démontré ses limites. On pourrait aussi faire les choses autrement. En d’autres mots, on pourrait innover. Mulgan et Albury (2003) , dans un texte qui a été beauc oup cité, suggèrent qu’une innovation réussie est « the creation and implementation of new processes, products, services and methods of delivery which result in significant improvements in outcomes efficiency, effectiveness or quality ».
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