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La necessité d'innover dans le secteur public. Peut‐on faire plus avec moins? C’est une question qui ne date p as d’hier pour les gouvernements. Malgré l’embellie budgétaire récente, le gouvernement du Québec devra faire plus avec moins dans les décennies à venir. La trop lente croissance économique ainsi que le vieil lissement de la population vont le forcer à changer ses façons de faire. Pour pouvoir faire plus avec moins , il va devoir innover. Certaines de ses organisations ont démontré que c’était possible. Il faut passer de ces réussites ponctuelles à un modèle plus général. C’est ce qui est proposé en conclusion de ce rapp ort de recherche. Un tel changement nécessite de repenser un certain nombre d’habitudes, de règles, de structures. Il n’est pas question ici d’une révolution administrative mais de changer graduellement et itérativement, que des innovations entraînent les suivantes. C’est ce que font de nombreux gouvern ements en ce moment pris dans la même problématique d’ensemble. De plu s, les technologies de l’inform ation vont aider à innover. Elles rendent possible une meilleure coordination d’ensemble que par le passé et peuvent libérer d’un certain nombre de tâches les employés du secteur public. Outre faire plus avec moins en changeant les façons de faire, il pourrait être aussi possible de mieux faire en innovant. Ce que ce rapport propose en conclusion est un modèle d’innovation dans le secteur public basé sur une recensi on importante des écrits et un travail empirique sur les prix de la gestion innovatrice qui poursuit n os publications antérieures (Bernier, Hafsi et Deschamps, 2013 et 2015). Nous proposons ici une analyse par ticulière des données sur le Québec que nous avons mises à jour pour lan cer la proposition qui suit. Il est présumé que l’innovation dans le secteur public peut con tribuer à améliorer la qualité des services et la capacité de faire face aux enjeux des organisations qui s e heurtent aux turbulences de l’évolution de la société et de l’économie. « L’innovation est l’ensemble du processus se déroulant depuis la naissance d’une idée jusqu’à sa matérialisation. Un État innovant est un État favorisant la naissance de nouvelles idées et les mettant en œuvre pour améliorer son organisation e t ses façons de faire. Un État performant au service de l’intérêt commun et du bien‐être de la population doit être un État innovant. » (Gouvernement du Québec, 2015, p. 80). Le plan économique du Québec présenté en mars 2016 énumérait si x objectifs. Le premier est le maintien de l’équilibre budgétaire et le deuxième est l’établissement de la croissance des dépenses en fonction de la capacité de payer des contribuables, en priorisant les deux grandes missions de l’État québécois, l’éducation et la santé. Le budget 2017 poursuit dans la même v eine. Le gouvernement consacre aux missions « Santé et services sociaux » ainsi que « Éducation et culture » 60 des 100 milliards de dollars qu’il dépense en 2016‐17 1 et ils doivent faire partie de la solution. On prévoit mainten ir l’équilibre budgétaire au cours des prochaines années en contrôlant le rythme d’augmentation des dépenses. Pour ce faire, on peut augmenter les contrôles, comme ce fut souvent le cas dans le passé, mais cette méthode a démontré ses limites. On pourrait aussi faire les choses autrement. En d’autres mots, on pourrait innover. Mulgan et Albury (2003) , dans un texte qui a été beauc oup cité, suggèrent qu’une innovation réussie est « the creation and implementation of new processes, products, services and methods of delivery which result in significant improvements in outcomes efficiency, effectiveness or quality ».
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Le présent document est le fruit des principales leçons apprises durant l’élaboration et la mise en œuvre de Montréal sans obstacle. S’il n’existe pas d’approche universelle pour planifier un événement accessible, nous espérons que le présent guide servira d’outil pratique à d’autres praticiennes et praticiens de l’innovation sociale lorsqu’ils chercheront à rendre leurs activités plus inclusives et accessibles à tous. Les recommandations présentées dans les pages qui suivent doivent être adaptées à chaque initiative en fonction de ses objectifs, de ses activités et de ses participants.
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La recherche partenariale et les différentes appellations qu'elle a prises au cours des ans a connu depuis les années 2000, particulièrement au Canada et au Québec, un essor important. Celui-ci s'explique en partie par la montée en puissance de concepts comme société du savoir et économie du savoir qui ont rapidement été adoptés par les instances étatiques. Ces concepts tablent sur des liens étroits entre la croissance économique des sociétés et la création scientifique. Ce mouvement est accompagné de changements au sein même du processus de production de connaissances par le passage du Mode 1 au Mode 2. Au Québec, la recherche de type partenarial a été confortée par l'adhésion à des modalités de développement socio-économique faisant une place notable à diverses formes de coopération entre les groupes sociaux. Ce travail doctoral vise à mieux cerner la dynamique partenariale qui se déroule au sein de la relation de recherche entre des chercheurs issus du milieu universitaire et des praticiens venant de divers horizons. Afin d'approcher cette connexion chercheurs/praticiens qui se dessine à l'intérieur d'un espace partenarial que nous avons qualifié d'espace de production cognitive, nous avons posé comme hypothèse de départ, à partir d'une revue de littérature et de notre propre expérience de coordonnateur d'alliances de recherches universités-communautés, que : des questions de recherche, des valeurs, des habitudes de travail et des épistémologies occupaient cet espace balisant ainsi la liaison entre les différents participants. Cette hypothèse a été mise à l'épreuve dans le cadre d'une recherche qualitative. Pour ce faire, nous avons choisi d'examiner cinq cas de recherches exemplaires réalisées au sein du Service aux collectivités (SAC) de l'UQAM. Des entrevues semi-dirigées auprès des protagonistes de ces recherches, c'est-à-dire, les chercheurs et chercheuses, les praticiens et praticiennes, les étudiants et étudiantes et les professionnelles du SAC qui assurent la coordination des projets, nous ont permis de décrypter le dispositif partenarial. Par une analyse de contenu des comptes-rendus intégraux des entretiens, nous avons ainsi pu dégager les principales composantes de ces relations partenariales. Cette démarche nous a conduit à revoir notre hypothèse de départ. Nous postulons maintenant que : l'espace de production cognitive est alimenté par un couple question-hypothèse porté tant par les chercheurs que les praticiens; que cette activité de recherche repose sur différentes compétences tant théoriques que pratiques mises de l'avant par les partenaires aux diverses étapes de la recherche; que ces partenaires participent à une communauté de valeurs et d'aptitudes relationnelles tout en partageant le même référent épistémologique. L'ensemble de ces composantes constitue le socle sur lequel le processus partenarial se construit, se déploie et permet ainsi l'élaboration de nouvelles connaissances. ____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : recherche partenariale, recherche-action, community based research, réflexivité, compétences.
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Employer cette subdivision de sujet, suivie si nécessaire d'un nom de lieu, à tous les sujets de noms communs, pour les documents sur l'impact d'un objet, d'une activité, d'un principe ou d'une discipline sur la société et vice versa. Dans le cas des noms des lieux, des catégories de personnes et des groupes ethniques, il faut plutôt employer la subdivision de sujet Conditions sociales
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Employer cette subdivision de sujet, suivie si nécessaire d'un nom de lieu, à tous les sujets de noms communs, pour les documents sur l'impact d'un objet, d'une activité, d'un principe ou d'une discipline sur la société et vice versa. Dans le cas des noms des lieux, des catégories de personnes et des groupes ethniques, il faut plutôt employer la subdivision de sujet Conditions sociales
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Présentation de la 11ème édition du Festival des Arts Numériques du Réseau Francophonie Living Labs à Tunis (Tunisie). Coopération France-Québec
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Présentation de la 11ème édition du Festival des Arts Numériques du Réseau Francophonie Living Labs à Tunis (Tunisie). Coopération France-Québec
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Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.
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Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.
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Des politiques en faveur de l’innovation sociale se mettent en place à différents niveaux (local, régional, national, européen). Pour autant et malgré l’augmentation exponentielle des références dans la littérature internationale, peut-on s’accorder sur une vision de l’innovation sociale ? Pour les auteurs réunis ici, elle ne constitue ni une recette ni la simple diffusion de ce qu’on appelle des « bonnes pratiques », qui opèreraient dans des systèmes économiques et sociaux inchangés. en effet, les capacités d’initiative de la société civile exigent des changements dans les cadres institutionnels pour construire un nouveau modèle de société inclusif, solidaire et écologique. À partir de l’expérience et des acquis de trois équipes de recherche qui y réfléchissent depuis plus de vingt ans, cet ouvrage alimente le débat théorique sur l’innovation sociale. Il explique aussi pourquoi la thématique est apparue dans une période de mutations contemporaines et montre l’importance pratique qu’elle peut revêtir à travers des exemples de territoires comme de secteurs.
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L’article tente dans une première partie de produire un classement des pratiques de recherche partenariale ayant cours dans les universités au Québec. Sans être une investigation systématique, elle puise dans diverses disciplines des sciences sociales et dans divers domaines de recherche. Deux tendances semblent se dessiner, l’une plus proche de la vision émancipatrice et l’autre plus axée sur les stratégies d’innovation sociale. La réflexion se poursuit par l’exposition, en seconde partie d’article, de trois nouveaux enjeux engendrés par l’essor de la recherche partenariale au sein de l’institution universitaire : la tension avec la recherche traditionnelle, la démarcation du savoir universitaire des autres types de savoirs et, enfin, l’éthique de la recherche.
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Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
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Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
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Un programme qui rapproche l’Université et la société ! Accès savoirs, la boutique des sciences et des savoirs de l’Université...
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Le Centre de recherche et d’innovation en sécurité civile (Centre RISC) est un centre collégial de transfert de technologies (CCTT)
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Centre de recherche pour l'inclusion des personnes en situation de handicap
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