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Résultats 118 ressources
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Le Réseau québécois en innovation sociale est un espace de partage et de mobilisation des savoirs et des expériences qui contribue à faire de l’innovation sociale un levier indispensable au développement durable du Québec.
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Une théorie du changement est un outil qui vous aide à décrire les changements que vous voulez voir se produire et la manière dont vous comptez y parvenir. Plus spécifiquement, elle vous aide à décrire le problème que vous essayez de résoudre, les changements que vous voulez opérer (vos résultats) et ce que vous allez mettre en place pour pouvoir y arriver (activités). Elle est une représentation dynamique et une illustration du comment et du pourquoi il est envisagé que le changement désiré s’opère dans un contexte particulier.
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Vidéo Audio Résumé À peu près inconnu au Québec il y a deux ans, le journalisme de solutions fait jaser, et la pandémie le propulse davantage. Antithèse de « if it bleeds, it leads », le journalisme de solutions met de l’avant les réponses concrètes et éprouvées à un enjeu social. Il se tient pourtant loin de […] Écoute intéressante sur le journalisme de solution qui prend sa place tranquillement et qui met souvent de l'avant des démarches et projets d'innovation sociale. Une conférence du CIRST qui s'écoute bien en format balado avec Amélie Daoust-Boisvert, professeure à l'Université Concordia.
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Ce document se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s’appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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This webinar includes the experiences and insights from two Québec-based organizations with an approach that yields a huge potential for transformative change.
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Pour atteindre ses objectifs, il est crucial que le Québec place la recherche et développement (R&D) au cœur de sa démarche. La science doit être au centre des décisions. Dans cette optique, la recherche-action, issue d’une collaboration entre acteurs de la recherche et des milieux de pratique, doit continuer à représenter une avenue de choix pour développer des connaissances axées sur les besoins du terrain. L’organisation des ateliers du forum fait d’ailleurs état de 1. Introduction : grandes lignes du forum cette volonté partenariale. Il est enfin nécessaire d’adopter une approche de sensibilisation et de communication qui soit positive. Ceci en axant le discours autour de la protection de l’environnement
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Pour dresser le bilan de ses pratiques en début de pandémie, Moisson Montréal a utilisé un nouvel outil d’appréciation des effets de l’action intersectorielle locale, développé par des membres de la Chaire de recherche du Canada Approches communautaires et inégalités de santé. Cet outil interactif offert gratuitement en ligne aide des organismes tels que Moisson Montréal, qui œuvrent en réseau avec de multiples partenaires intersectoriels, à comprendre, modéliser et piloter les actions (tenue d’une activité, production d’un document, représentation, etc.) à entreprendre pour répondre à un besoin social, et à en analyser les retombées.
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Le CIRADD est un centre de recherche en innovation sociale spécialisé en développement durable. Il offre des services de recherche et d’analyse ainsi que du soutien, de l’accompagnement et de la formation aux organisations qui souhaitent trouver des solutions innovantes et durables. Affilié au Cégep de la Gaspésie et des Îles, le centre fait partie du réseau Synchronex, qui regroupe 59 centres collégiaux d’innovation au Québec, et de Tech-Accès Canada, un réseau pancanadien de 60 centres d’accès à la technologie.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 1 – Planification. Cette étape est prévue pour planifier la mise en œuvre d’une initiative et élaborer un plan de déploiement, incluant la définition collective d’une vision de changement, clarifier les intentions d’apprentissage et des méthodes de travail collectives. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 3 – Intensification, pour 3 ans ou moins. Cette étape est prévue pour intensifier une initiative particulièrement porteuse, qui a déjà été déployée en intégrant les principes de l’impact collectif, en l’apportant à plus grande échelle pour viser des retombées plus significatives à l’intérieur d’un quartier ou avec d’autres quartiers. En intensification, un quartier est appelé à mobiliser des stratégies collectives qui visent des changements systémiques. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Qu’est-ce que la mesure d’impact social ? Comment mesurer son impact social ? Pourquoi l’évaluer ? Pour qui ? Quelle approche utiliser ? Qui est actif dans le domaine ? Quelles sont les méthodes ? Quels sont les indicateurs ? Que peut-on dire sur l’impact de l’économie sociale au Québec à ce jour ? Ces questions vous interpellent ? Le TIESS dévoile aujourd’hui un
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Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.
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Qu'est-ce que l'innovation sociale? Comment l'économie sociale est-elle un vecteur d'innovation sociale? Sur le terrain, localement, comment met-on en application l'innovation sociale par l'économie sociale? Visionnez le webinaire pour le découvrir! 00:00 Introduction 02:00 Annie Camus 20:39 Martin Frappier 34:58 Marykim D'Amours Bryson 49:20 Questions et conclusion
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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Dans le cadre des parcours d’accompagnement et des services offerts par la MIS, nous proposons divers outils afin de soutenir les porteurs et porteuses de projets à fort impact social et environnemental.
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L’histoire a vu son lot d’innovations technologiques et scientifiques dans toutes les époques et sphères de la société : dans les sciences, le transport, les infrastructures, la technologie, les communications et d’autres encore.
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Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
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La necessité d'innover dans le secteur public. Peut‐on faire plus avec moins? C’est une question qui ne date p as d’hier pour les gouvernements. Malgré l’embellie budgétaire récente, le gouvernement du Québec devra faire plus avec moins dans les décennies à venir. La trop lente croissance économique ainsi que le vieil lissement de la population vont le forcer à changer ses façons de faire. Pour pouvoir faire plus avec moins , il va devoir innover. Certaines de ses organisations ont démontré que c’était possible. Il faut passer de ces réussites ponctuelles à un modèle plus général. C’est ce qui est proposé en conclusion de ce rapp ort de recherche. Un tel changement nécessite de repenser un certain nombre d’habitudes, de règles, de structures. Il n’est pas question ici d’une révolution administrative mais de changer graduellement et itérativement, que des innovations entraînent les suivantes. C’est ce que font de nombreux gouvern ements en ce moment pris dans la même problématique d’ensemble. De plu s, les technologies de l’inform ation vont aider à innover. Elles rendent possible une meilleure coordination d’ensemble que par le passé et peuvent libérer d’un certain nombre de tâches les employés du secteur public. Outre faire plus avec moins en changeant les façons de faire, il pourrait être aussi possible de mieux faire en innovant. Ce que ce rapport propose en conclusion est un modèle d’innovation dans le secteur public basé sur une recensi on importante des écrits et un travail empirique sur les prix de la gestion innovatrice qui poursuit n os publications antérieures (Bernier, Hafsi et Deschamps, 2013 et 2015). Nous proposons ici une analyse par ticulière des données sur le Québec que nous avons mises à jour pour lan cer la proposition qui suit. Il est présumé que l’innovation dans le secteur public peut con tribuer à améliorer la qualité des services et la capacité de faire face aux enjeux des organisations qui s e heurtent aux turbulences de l’évolution de la société et de l’économie. « L’innovation est l’ensemble du processus se déroulant depuis la naissance d’une idée jusqu’à sa matérialisation. Un État innovant est un État favorisant la naissance de nouvelles idées et les mettant en œuvre pour améliorer son organisation e t ses façons de faire. Un État performant au service de l’intérêt commun et du bien‐être de la population doit être un État innovant. » (Gouvernement du Québec, 2015, p. 80). Le plan économique du Québec présenté en mars 2016 énumérait si x objectifs. Le premier est le maintien de l’équilibre budgétaire et le deuxième est l’établissement de la croissance des dépenses en fonction de la capacité de payer des contribuables, en priorisant les deux grandes missions de l’État québécois, l’éducation et la santé. Le budget 2017 poursuit dans la même v eine. Le gouvernement consacre aux missions « Santé et services sociaux » ainsi que « Éducation et culture » 60 des 100 milliards de dollars qu’il dépense en 2016‐17 1 et ils doivent faire partie de la solution. On prévoit mainten ir l’équilibre budgétaire au cours des prochaines années en contrôlant le rythme d’augmentation des dépenses. Pour ce faire, on peut augmenter les contrôles, comme ce fut souvent le cas dans le passé, mais cette méthode a démontré ses limites. On pourrait aussi faire les choses autrement. En d’autres mots, on pourrait innover. Mulgan et Albury (2003) , dans un texte qui a été beauc oup cité, suggèrent qu’une innovation réussie est « the creation and implementation of new processes, products, services and methods of delivery which result in significant improvements in outcomes efficiency, effectiveness or quality ».
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Ce site donne accès aux résultats du projet « Diagnostic 2020 sur l’expertise québécoise en mobilisation des connaissances » et à une série de fiches qui en soulignent les faits saillants.
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