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  • Participatory social innovation projects often involve the coming together of design researchers, community development groups, and community members to develop (often technological) solutions to social problems or challenges. “Intermediaries” are specific individuals and organisations who contribute to these projects by translating intentions, values and experiences between design researchers and communities. Previous research has not yet critically examined the role of intermediaries in such projects. This paper does so in a project carried out in rural areas of Europe, which sought to test and develop a technology to support the creation of FM community radio stations in isolated areas. We present the project as a biography of infrastructures to provide an account of intermediaries’ interactions during the project's unfolding. We find that how intermediaries shape the social base and ends of the project, and the interpretation of the technology involved, is influenced by their position, goals, and relationships in the process.

  • An exploration of how design might be led by marginalized communities, dismantle structural inequality, and advance collective liberation and ecological survival. What is the relationship between design, power, and social justice? "Design justice" is an approach to design that is led by marginalized communities and that aims explicitly to challenge, rather than reproduce, structural inequalities. It has emerged from a growing community of designers in various fields who work closely with social movements and community-based organizations around the world. This book explores the theory and practice of design justice, demonstrates how universalist design principles and practices erase certain groups of people--specifically, those who are intersectionally disadvantaged or multiply burdened under the matrix of domination (white supremacist heteropatriarchy, ableism, capitalism, and settler colonialism)--and invites readers to "build a better world, a world where many worlds fit; linked worlds of collective liberation and ecological sustainability." Along the way, the book documents a multitude of real-world community-led design practices, each grounded in a particular social movement. Design Justice goes beyond recent calls for design for good, user-centered design, and employment diversity in the technology and design professions; it connects design to larger struggles for collective liberation and ecological survival.

  • An exploration of how design might be led by marginalized communities, dismantle structural inequality, and advance collective liberation and ecological survival. What is the relationship between design, power, and social justice? "Design justice" is an approach to design that is led by marginalized communities and that aims explicitly to challenge, rather than reproduce, structural inequalities. It has emerged from a growing community of designers in various fields who work closely with social movements and community-based organizations around the world. This book explores the theory and practice of design justice, demonstrates how universalist design principles and practices erase certain groups of people--specifically, those who are intersectionally disadvantaged or multiply burdened under the matrix of domination (white supremacist heteropatriarchy, ableism, capitalism, and settler colonialism)--and invites readers to "build a better world, a world where many worlds fit; linked worlds of collective liberation and ecological sustainability." Along the way, the book documents a multitude of real-world community-led design practices, each grounded in a particular social movement. Design Justice goes beyond recent calls for design for good, user-centered design, and employment diversity in the technology and design professions; it connects design to larger struggles for collective liberation and ecological survival.

  • Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.

  • Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.

  • This study examined the role of Higher Educational Institutions (HEIs) in promoting, creating, and sustaining social innovation. Recently, HEIs have extended their contribution beyond the traditional function of teaching and research to perform in socio-economic problem-solving. Considering the increasing trends of higher education involvement in social innovation practices, this study tries to examine the tools such as learning processes and systemic thinking approach that could be helpful to align the function and responsibilities of HEIs towards social innovation. The objective is to develop a theoretical understanding of the "co-creation for social innovation" concept and to understand the functions and activities of HEIs that can contribute to this process. To promote co-creation for social innovation, HEIs should actively encourage collaborative learning tools that focus on open platforms for collective action and systemic change that help them to engage with society and strengthen their collaboration with social actors. Different activities such as mutual learning and knowledge diffusion using a transdisciplinary approach, technology-based learning and collaboration, and relational transformation are key enablers that can promote social innovation.

  • La dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada

  • There has been global growth in the number of social innovation initiatives launched in the university sector over the last decade. These initiatives aim to address complex social problems and to promote institutional change. This surge is occurring without a well-developed empirical knowledge base. This article provides a comprehensive description and analysis of the landscape of social innovation initiatives in the Canadian university sector. Findings show that nearly half of Canada’s 96 universities are associated with at least one initiative; many are interdisciplinary and emphasize collaborative problem-solving with sectors outside the university; and government agencies and charitable foundations are the most common funding sources. Findings suggest there is room for growth and for linking and clustering initiatives. The article concludes with directions for future research. RÉSUMÉLa dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada

  • There has been global growth in the number of social innovation initiatives launched in the university sector over the last decade. These initiatives aim to address complex social problems and to promote institutional change. This surge is occurring without a well-developed empirical knowledge base. This article provides a comprehensive description and analysis of the landscape of social innovation initiatives in the Canadian university sector. Findings show that nearly half of Canada’s 96 universities are associated with at least one initiative; many are interdisciplinary and emphasize collaborative problem-solving with sectors outside the university; and government agencies and charitable foundations are the most common funding sources. Findings suggest there is room for growth and for linking and clustering initiatives. The article concludes with directions for future research. RÉSUMÉLa dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada

  • La dernière décennie a été marquée par une croissance mondiale du nombre d’initiatives d’innovation sociale lancées dans le secteur universitaire. Ces initiatives visent à résoudre des problèmes sociaux complexes et à induire des changements institutionnels et systémiques. Cette poussée de l’activité d’innovation sociale se produit sans une base de connaissances empiriques bien développée. Nous y contribuons en fournissant une description et une analyse complètes de toutes les initiatives d’innovation sociale auxquelles participe le secteur universitaire canadien, de leurs caractéristiques et du paysage qu’elles constituent. Résultats notables: près de la moitié des 96 universités canadiennes sont associées à au moins une initiative; de nombreuses initiatives sont interdisciplinaires et mettent l’accent sur la résolution de problèmes en collaboration avec des secteurs extérieurs à l’université; Les agences gouvernementales et les fondations caritatives sont les sources de financement les plus courantes. Les résultats suggèrent: il existe un potentiel de croissance de l’innovation sociale dans le secteur; il y a moins de liens internes et de regroupement d’initiatives que ne le recommande la théorie de l’innovation; l’accent mis sur la collaboration extérieure rejoint la «troisième mission» des universités, qui existe depuis longtemps, mais les innovateurs sociaux ont des objectifs, des méthodes et des processus distincts pour mener à bien cette mission. Nous concluons avec les orientations pour les recherches futures. Keywords / Mots clés: Universities; Higher education; Social innovation; Community engagement; Service mission; Social change; Canada / Universités; Établissements d’enseignement supérieur; Innovation sociale; Engagement communautaire; Mission de service; Changement social; Canada

  • Current social innovation initiatives towards societal transformations bring forward new ways of doing and organizing, but new ways of knowing as well. Their efforts towards realizing those are important sites for the investigation of contemporary tensions of expertise. The promotion of new, transformative ways of knowing typically involves a large bandwidth of claims to expertise. The attendant contestation is unfolded through the exemplar case of the Basic Income in which the historically evolved forms of academic political advocacy are increasingly accompanied by a new wave of activism. Crowd-funding initiatives, internet activists, citizen labs, petitions and referenda seek to realize the BI through different claims to expertise than previous attempts. Observing both the tensions between diverse claims to expertise and the overall co-production process through which the Basic Income is realized, this contribution concludes with reflections on the politics of expertise involved in transformative social innovation.

  • Current social innovation initiatives towards societal transformations bring forward new ways of doing and organizing, but new ways of knowing as well. Their efforts towards realizing those are important sites for the investigation of contemporary tensions of expertise. The promotion of new, transformative ways of knowing typically involves a large bandwidth of claims to expertise. The attendant contestation is unfolded through the exemplar case of the Basic Income in which the historically evolved forms of academic political advocacy are increasingly accompanied by a new wave of activism. Crowd-funding initiatives, internet activists, citizen labs, petitions and referenda seek to realize the BI through different claims to expertise than previous attempts. Observing both the tensions between diverse claims to expertise and the overall co-production process through which the Basic Income is realized, this contribution concludes with reflections on the politics of expertise involved in transformative social innovation.

  • In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.

  • In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.

  • Ces écrits d’auteures et auteurs éclairants relatent des récits d’occasions, de réalisations et de défis que le mouvement d’innovation sociale a vécu et continuera de vivre en soutenant le changement social au Canada. Il comprend des réflexions qui s’étendent de 2017 à aujourd’hui, incluant la crise de la COVID-19. Parmi les personnes ayant contribué à cet ouvrage, on retrouve notamment l’Honorable Ahmed Hussen, Nabeel Ahmed, Dan Breznitz, Stephen Couchman, Melanie Goodchild, Nicolas Langelier, John Lorinc, Kristin Pue, Vinod Rajasekeran, Marilyn Struthers et plusieurs membres du personnel de la Fondation.

  • Ces écrits d’auteures et auteurs éclairants relatent des récits d’occasions, de réalisations et de défis que le mouvement d’innovation sociale a vécu et continuera de vivre en soutenant le changement social au Canada. Il comprend des réflexions qui s’étendent de 2017 à aujourd’hui, incluant la crise de la COVID-19. Parmi les personnes ayant contribué à cet ouvrage, on retrouve notamment l’Honorable Ahmed Hussen, Nabeel Ahmed, Dan Breznitz, Stephen Couchman, Melanie Goodchild, Nicolas Langelier, John Lorinc, Kristin Pue, Vinod Rajasekeran, Marilyn Struthers et plusieurs membres du personnel de la Fondation.

  • Notion sujette à controverses, l’innovation sociale est appropriée au Québec par divers acteurs ayant le changement social à cœur et finit par constituer son propre écosystème. Il se compose, entre autres, des praticiens qui professionnalisent une démarche d’accompagnement à l’innovation sociale : les consultants. Stimulés par la mise en place de modèles sociétaux alternatifs visant une transformation sociale durable, les processus qu’ils élaborent s’écartent des modèles traditionnels de la consultation en management. Considérant cela, ce projet de recherche aborde la question suivante : en quoi consiste la consultation en innovation sociale? Outre la compréhension des principales approches et questions soulevées dans la littérature par les concepts d’innovation sociale et de consultation, ce mémoire explore les tensions et paradoxes inhérents au champ de l’innovation sociale. Il se consacre plus précisément à une étude comparative des pratiques de consultation mises en œuvre par des praticiens de différentes organisations œuvrant dans le milieu, et le rôle qu’ils jouent dans le changement social.

  • Ce site donne accès aux résultats du projet « Diagnostic 2020 sur l’expertise québécoise en mobilisation des connaissances » et à une série de fiches qui en soulignent les faits saillants.

  • Ce site donne accès aux résultats du projet « Diagnostic 2020 sur l’expertise québécoise en mobilisation des connaissances » et à une série de fiches qui en soulignent les faits saillants.

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 13:00 (EDT)

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