Votre recherche
Résultats 16 ressources
-
Qu’est-ce que la mesure d’impact social ? Comment mesurer son impact social ? Pourquoi l’évaluer ? Pour qui ? Quelle approche utiliser ? Qui est actif dans le domaine ? Quelles sont les méthodes ? Quels sont les indicateurs ? Que peut-on dire sur l’impact de l’économie sociale au Québec à ce jour ? Ces questions vous interpellent ? Le TIESS dévoile aujourd’hui un
-
L’innovation sociale continue de faire appel à des définitions plurielles. Une majorité s’accorde à dire qu’elle élabore des réponses nouvelles à des besoins sociaux mal ou peu satisfaits dans tous les secteurs : alimentation, mobilité, énergie, habitat, environnement, santé… Portée par différents acteurs, l’innovation sociale apporte des solutions efficaces à des enjeux complexes auxquels ni l’Etat, ni le marché ne peuvent répondre seuls.
-
Social innovations have proven to be valuable in identifying, designing and implementing new solutions to social and environmental problems. The recent COVID-19 outbreak has put a spotlight on the potential of social innovation as a resilience mechanism, including for local development. This paper presents a preliminary framework for analysing social innovation ecosystems at the local level. It can help policy makers to better understand the different concepts around social innovation, and to develop policies to support social innovation and its implementation. The first section considers the features of social innovation and the benefits it can bring. The second section provides an analytical framework for social innovation at the local level. The final section sets a number of guidelines that support the implementation of social innovation ecosystems at local level, including examples of specific policy instruments.
-
Social innovations have proven to be valuable in identifying, designing and implementing new solutions to social and environmental problems. The recent COVID-19 outbreak has put a spotlight on the potential of social innovation as a resilience mechanism, including for local development. This paper presents a preliminary framework for analysing social innovation ecosystems at the local level. It can help policy makers to better understand the different concepts around social innovation, and to develop policies to support social innovation and its implementation. The first section considers the features of social innovation and the benefits it can bring. The second section provides an analytical framework for social innovation at the local level. The final section sets a number of guidelines that support the implementation of social innovation ecosystems at local level, including examples of specific policy instruments.
-
Le débat sur le rapport entre l’innovation sociale et les villes s’est élargi au cours des dernières décennies. Ce débat met en évidence l’intérêt suscité par les processus de coconstruction des savoirs dans les laboratoires vivants en innovation sociale (LVIS). Cet article a pour objectif de présenter une approche conceptuelle et analytique du traitement des LVIS, ainsi que de décrire et de mettre en perspective deux expériences de mise en oeuvre de LVIS dans les villes : l’Observatoire de l’innovation sociale de Florianópolis (OBISF) au Brésil et Territoires innovants en économie sociale et solidaire (TIESS) à Montréal au Canada. Bien qu’ils émergent dans des réalités et des contextes différents avec des méthodologies de mise en oeuvre spécifiques, qui sont présentées dans le texte, la discussion et l’analyse des deux cas apportent des pistes d’apprentissage sur les défis et les perspectives quant à la coconstruction des connaissances visant à renforcer les dynamiques d’innovation sociale à l’échelle d’une ville.
-
Le débat sur le rapport entre l’innovation sociale et les villes s’est élargi au cours des dernières décennies. Ce débat met en évidence l’intérêt suscité par les processus de coconstruction des savoirs dans les laboratoires vivants en innovation sociale (LVIS). Cet article a pour objectif de présenter une approche conceptuelle et analytique du traitement des LVIS, ainsi que de décrire et de mettre en perspective deux expériences de mise en oeuvre de LVIS dans les villes : l’Observatoire de l’innovation sociale de Florianópolis (OBISF) au Brésil et Territoires innovants en économie sociale et solidaire (TIESS) à Montréal au Canada. Bien qu’ils émergent dans des réalités et des contextes différents avec des méthodologies de mise en oeuvre spécifiques, qui sont présentées dans le texte, la discussion et l’analyse des deux cas apportent des pistes d’apprentissage sur les défis et les perspectives quant à la coconstruction des connaissances visant à renforcer les dynamiques d’innovation sociale à l’échelle d’une ville.
-
L’innovation sociale est largement considérée comme vertueuse. Cependant, le consensus qui semble régner en la matière vient de ce que les représentations et les pratiques englobées sous ce terme recouvrent un faisceau très diversifié d’approches et de réalités. Cette polysémie permet à de nombreux auteurs de se ranger sous une même bannière alors qu’ils ont des références et des orientations distinctes, voire divergentes. L’éloge unanime de l’innovation sociale ne saurait donc faire illusion. À cet égard, un travail introductif autour de l’innovation sociale a mis en évidence deux acceptions contrastées. La première version, qui peut être qualifiée de faible, aménage le système existant, insiste sur l’importance de l’épreuve marchande et valorise l’entreprise privée dans sa capacité à trouver de nouvelles solutions aux problèmes de société. La seconde version, qui peut être désignée comme forte, affiche une visée transformatrice ; elle prône, en réaction à la démesure du capitalisme marchand, une articulation inédite entre pouvoirs publics et société civile pour répondre aux défis écologiques et sociaux. La première se contente d’une amélioration du modèle économique dominant, l’innovation s’inscrivant dans une perspective réparatrice et fonctionnelle, tandis que la seconde a pour caractéristique un questionnement critique de ce modèle, et a pour horizon une démocratisation de la société.
-
L’innovation sociale est largement considérée comme vertueuse. Cependant, le consensus qui semble régner en la matière vient de ce que les représentations et les pratiques englobées sous ce terme recouvrent un faisceau très diversifié d’approches et de réalités. Cette polysémie permet à de nombreux auteurs de se ranger sous une même bannière alors qu’ils ont des références et des orientations distinctes, voire divergentes. L’éloge unanime de l’innovation sociale ne saurait donc faire illusion. À cet égard, un travail introductif autour de l’innovation sociale a mis en évidence deux acceptions contrastées. La première version, qui peut être qualifiée de faible, aménage le système existant, insiste sur l’importance de l’épreuve marchande et valorise l’entreprise privée dans sa capacité à trouver de nouvelles solutions aux problèmes de société. La seconde version, qui peut être désignée comme forte, affiche une visée transformatrice ; elle prône, en réaction à la démesure du capitalisme marchand, une articulation inédite entre pouvoirs publics et société civile pour répondre aux défis écologiques et sociaux. La première se contente d’une amélioration du modèle économique dominant, l’innovation s’inscrivant dans une perspective réparatrice et fonctionnelle, tandis que la seconde a pour caractéristique un questionnement critique de ce modèle, et a pour horizon une démocratisation de la société.
-
Face à la conception technocratique et entrepreneuriale portée par les pouvoirs publics, une approche alternative de l’innovation sociale, plus populaire et moins visible, à travers l’exploration d’initiatives citoyennes. Prenant comme point de départ le constat d’une appropriation institutionnelle de l’innovation sociale, orientée vers la compétitivité et l’efficacité marchande des expériences de l’économie sociale et solidaire, l’ouvrage vise à la fois à apporter un regard critique sur cette conception de l’innovation sociale et à remettre en lumière des expérimentations citoyennes peu prises en compte par les pouvoirs publics. Il montre ainsi la nécessité d’un tournant épistémologique valorisant les dynamiques de coproduction des savoirs et des politiques entre acteurs, chercheurs et institutions.
-
Face à la conception technocratique et entrepreneuriale portée par les pouvoirs publics, une approche alternative de l’innovation sociale, plus populaire et moins visible, à travers l’exploration d’initiatives citoyennes. Prenant comme point de départ le constat d’une appropriation institutionnelle de l’innovation sociale, orientée vers la compétitivité et l’efficacité marchande des expériences de l’économie sociale et solidaire, l’ouvrage vise à la fois à apporter un regard critique sur cette conception de l’innovation sociale et à remettre en lumière des expérimentations citoyennes peu prises en compte par les pouvoirs publics. Il montre ainsi la nécessité d’un tournant épistémologique valorisant les dynamiques de coproduction des savoirs et des politiques entre acteurs, chercheurs et institutions.
-
Titre officiel : Recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d'innovation sociale et de finance sociale Le Canada est une terre d'innovateurs. Notre pays a une riche tradition d'innovation à des fins sociales et environnementales, que l'on pense aux peuples autochtones dont les sociétés ont prospéré grâce à l'interdépendance de leur culture et à leur ingéniosité, aux caisses populaires établies au tournant du 20e siècle pour assurer l'accès au crédit dans leur région ou encore aux premiers réseaux de bénévoles et de donateurs qui ont fait leur apparition pendant la Première Guerre mondiale pour recueillir les fonds à l'appui de leurs collectivités. Aujourd'hui, plus que jamais, nous devons tirer parti de cet esprit novateur. Les défis sociaux, économiques et environnementaux complexes auxquels fait face notre pays – l'itinérance, les changements climatiques, l'emploi des jeunes et la crise des opioïdes, pour ne nommer que ceux-là – exigent de la créativité et des solutions transformatrices. Si nous voulons faire mieux, il nous incombe de travailler différemment.
-
Titre officiel : Recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d'innovation sociale et de finance sociale Le Canada est une terre d'innovateurs. Notre pays a une riche tradition d'innovation à des fins sociales et environnementales, que l'on pense aux peuples autochtones dont les sociétés ont prospéré grâce à l'interdépendance de leur culture et à leur ingéniosité, aux caisses populaires établies au tournant du 20e siècle pour assurer l'accès au crédit dans leur région ou encore aux premiers réseaux de bénévoles et de donateurs qui ont fait leur apparition pendant la Première Guerre mondiale pour recueillir les fonds à l'appui de leurs collectivités. Aujourd'hui, plus que jamais, nous devons tirer parti de cet esprit novateur. Les défis sociaux, économiques et environnementaux complexes auxquels fait face notre pays – l'itinérance, les changements climatiques, l'emploi des jeunes et la crise des opioïdes, pour ne nommer que ceux-là – exigent de la créativité et des solutions transformatrices. Si nous voulons faire mieux, il nous incombe de travailler différemment.
-
Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
-
Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
-
Qu’est-ce que la mesure d’impact social ? Comment mesurer son impact social ? Pourquoi l’évaluer ? Pour qui ? Quelle approche utiliser ? Qui est actif dans le domaine ? Quelles sont les méthodes ? Quels sont les indicateurs ? Que peut-on dire sur l’impact de l’économie sociale au Québec à ce jour ? Ces questions vous interpellent ? Le TIESS dévoile aujourd’hui un
-
Vous trouverez ici des réponses aux principales questions relatives au thème de l’évaluation et de la mesure d’impact social, abordées du point de vue des organisations liées à l’économie sociale au Québec.
Explorer
Sujet
- Économie sociale
- Accès gratuit sur inscription (2)
- Associations (2)
- Autochtone (2)
- Brésil (2)
- Canada (6)
- Co-construction (2)
- Concertation (2)
- Éco-développement (2)
- Économie solidaire (7)
- État (2)
- Finance sociale (2)
- France (1)
- Gestion axée sur les résultats (2)
- Impact social (1)
- Innovation inclusive (2)
- Innovation sociale (12)
- Innovation technologique (2)
- Intelligence collective (2)
- Laboratoire vivant (2)
- Libre accès (5)
- Living Labs (1)
- local ecosystem (2)
- Mesure d'impact (2)
- Mesures (2)
- Montréal (1)
- Outils (2)
- Philanthropie (2)
- Publication gouvernementale (4)
- Québec (6)
- Recommandations (2)
- Réservé UdeM (8)
- Santé (2)
- Science politique (2)
- Sciences sociales (2)
- social business (2)
- Social entrepreneurship (2)
- Transformations (2)
- Urbanisme (2)
Type de ressource
- Article de revue (2)
- Chapitre de livre (4)
- Livre (2)
- Page Web (6)
- Rapport (2)
4. Déploiement, valorisation, pérennisation
5. Évaluation, retombées et impacts
- 5.2 Méthodes (1)
- - Les incontournables (1)