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  • Design has always played a role in the process of production, transformations in society and the economy, shifts in technology and impacts on the environment. The nature of the changes created by our post-industrial era is challenging the character of design and its role in society. The post-industrial era is creating complex projects for technology, service, systems, strategy and products. Clients are even becoming undefined stakeholders, and this can be extended to the entire community and the environment. The rise of digital technology and the knowledge society are introducing a new culture, which can be open, participatory, shared and collaborative. Here the designer is acting as a researcher, always questioning the character of the project, its outcomes and process. Open access, co-design, crowdfunding, digital manufacturing, open-source, DIY, enabling systems and networking can be included in the toolbox of the designer and can create opportunities to drive the change towards sustainability, equity and democracy. Social innovation is leveraging forms of collaboration and co-production in which designers, innovators, users and communities co-create knowledge and solutions for a wide range of social needs, exploiting the networking technologies. This book explores a number of areas where design can contribute to face the contemporary transformations in our society with real-life collaborative research and innovation projects. Through a number of Canadian social innovation case studies collected in social, environmental and technological fields, we recognize how the role of the designer cannot be limited to the production of finished objects; rather, designers can create tools and platforms to help users and citizens participate in projects, even allowing forms of personalization

  • Design has always played a role in the process of production, transformations in society and the economy, shifts in technology and impacts on the environment. The nature of the changes created by our post-industrial era is challenging the character of design and its role in society. The post-industrial era is creating complex projects for technology, service, systems, strategy and products. Clients are even becoming undefined stakeholders, and this can be extended to the entire community and the environment. The rise of digital technology and the knowledge society are introducing a new culture, which can be open, participatory, shared and collaborative. Here the designer is acting as a researcher, always questioning the character of the project, its outcomes and process. Open access, co-design, crowdfunding, digital manufacturing, open-source, DIY, enabling systems and networking can be included in the toolbox of the designer and can create opportunities to drive the change towards sustainability, equity and democracy. Social innovation is leveraging forms of collaboration and co-production in which designers, innovators, users and communities co-create knowledge and solutions for a wide range of social needs, exploiting the networking technologies. This book explores a number of areas where design can contribute to face the contemporary transformations in our society with real-life collaborative research and innovation projects. Through a number of Canadian social innovation case studies collected in social, environmental and technological fields, we recognize how the role of the designer cannot be limited to the production of finished objects; rather, designers can create tools and platforms to help users and citizens participate in projects, even allowing forms of personalization

  • Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.

  • Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 13:00 (EDT)