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Résultats 15 ressources
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We sought to co-develop an assessment questionnaire that will allow AI developers, government, and tech-enabled civil society organizations (CSOs) to gauge the level of civic empowerment in their AI system(s) (see Section 4). We categorized the contributions from attendees in terms of existential, epistemic, process-based and a few ready-to-go assessment questions. Our hope was that this set of questions could eventually augment AI certification, audit, and risk assessment tools. At this stage, instead of generating a simple list of best practices, our assessment questionnaire serves to “open Pandora’s box,” explicating the diversity of positions, confronting the challenge in synthesis and implementation, and moving towards meaningful and not merely performative empowerment.
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We sought to co-develop an assessment questionnaire that will allow AI developers, government, and tech-enabled civil society organizations (CSOs) to gauge the level of civic empowerment in their AI system(s) (see Section 4). We categorized the contributions from attendees in terms of existential, epistemic, process-based and a few ready-to-go assessment questions. Our hope was that this set of questions could eventually augment AI certification, audit, and risk assessment tools. At this stage, instead of generating a simple list of best practices, our assessment questionnaire serves to “open Pandora’s box,” explicating the diversity of positions, confronting the challenge in synthesis and implementation, and moving towards meaningful and not merely performative empowerment.
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Le débat sur le rapport entre l’innovation sociale et les villes s’est élargi au cours des dernières décennies. Ce débat met en évidence l’intérêt suscité par les processus de coconstruction des savoirs dans les laboratoires vivants en innovation sociale (LVIS). Cet article a pour objectif de présenter une approche conceptuelle et analytique du traitement des LVIS, ainsi que de décrire et de mettre en perspective deux expériences de mise en oeuvre de LVIS dans les villes : l’Observatoire de l’innovation sociale de Florianópolis (OBISF) au Brésil et Territoires innovants en économie sociale et solidaire (TIESS) à Montréal au Canada. Bien qu’ils émergent dans des réalités et des contextes différents avec des méthodologies de mise en oeuvre spécifiques, qui sont présentées dans le texte, la discussion et l’analyse des deux cas apportent des pistes d’apprentissage sur les défis et les perspectives quant à la coconstruction des connaissances visant à renforcer les dynamiques d’innovation sociale à l’échelle d’une ville.
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Le débat sur le rapport entre l’innovation sociale et les villes s’est élargi au cours des dernières décennies. Ce débat met en évidence l’intérêt suscité par les processus de coconstruction des savoirs dans les laboratoires vivants en innovation sociale (LVIS). Cet article a pour objectif de présenter une approche conceptuelle et analytique du traitement des LVIS, ainsi que de décrire et de mettre en perspective deux expériences de mise en oeuvre de LVIS dans les villes : l’Observatoire de l’innovation sociale de Florianópolis (OBISF) au Brésil et Territoires innovants en économie sociale et solidaire (TIESS) à Montréal au Canada. Bien qu’ils émergent dans des réalités et des contextes différents avec des méthodologies de mise en oeuvre spécifiques, qui sont présentées dans le texte, la discussion et l’analyse des deux cas apportent des pistes d’apprentissage sur les défis et les perspectives quant à la coconstruction des connaissances visant à renforcer les dynamiques d’innovation sociale à l’échelle d’une ville.
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La co-construction est un processus par lequel des acteurs différents confrontent leurs points de vue et s’engagent dans une transformation de ceux-ci jusqu’au moment où ils s’accordent sur des traductions qu’ils ne perçoivent plus comme incompatibles. Ce moment particulier est celui où ils pensent avoir défini un « monde commun » qui va fonder leur compromis ; ils pourront alors poursuivre leur coopération afin de construire un projet d’action commun et réfléchir ensemble à sa mise en œuvre. La notion de co-construction s’est largement diffusée dans le monde académique et non académique. Cependant, sa définition reste encore aujourd’hui incertaine et fait l’objet de propositions dans la littérature grise des dossiers, finalisée par des institutions (certains conseils généraux, entre autres) ou des cabinets conseil. Pratiquement aucun dictionnaire de sociologie ou de sciences humaines ne la définit à l’exception du Dictionnaire de la participation . « Le terme co-construction est devenu depuis quelques années très en vue. Il se retrouve dans beaucoup d’articles et livres à portée académique. L’univers professionnel n’en est pas moins en reste où cette approche de gestion semble l’un des moyens pour pérenniser la performance des organisations. Néanmoins, lorsque l’on s’y attarde un peu plus en profondeur, on constate qu’il est davantage cité que conceptualisé. Très peu d’auteurs s’y sont réellement attardés ». C’est une notion ambiguë et la proximité avec des notions voisines plus académiques comme la coopération n’est sans doute pas une condition facilitatrice pour une explicitation de ses dimensions propres…
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La co-construction est un processus par lequel des acteurs différents confrontent leurs points de vue et s’engagent dans une transformation de ceux-ci jusqu’au moment où ils s’accordent sur des traductions qu’ils ne perçoivent plus comme incompatibles. Ce moment particulier est celui où ils pensent avoir défini un « monde commun » qui va fonder leur compromis ; ils pourront alors poursuivre leur coopération afin de construire un projet d’action commun et réfléchir ensemble à sa mise en œuvre. La notion de co-construction s’est largement diffusée dans le monde académique et non académique. Cependant, sa définition reste encore aujourd’hui incertaine et fait l’objet de propositions dans la littérature grise des dossiers, finalisée par des institutions (certains conseils généraux, entre autres) ou des cabinets conseil. Pratiquement aucun dictionnaire de sociologie ou de sciences humaines ne la définit à l’exception du Dictionnaire de la participation . « Le terme co-construction est devenu depuis quelques années très en vue. Il se retrouve dans beaucoup d’articles et livres à portée académique. L’univers professionnel n’en est pas moins en reste où cette approche de gestion semble l’un des moyens pour pérenniser la performance des organisations. Néanmoins, lorsque l’on s’y attarde un peu plus en profondeur, on constate qu’il est davantage cité que conceptualisé. Très peu d’auteurs s’y sont réellement attardés ». C’est une notion ambiguë et la proximité avec des notions voisines plus académiques comme la coopération n’est sans doute pas une condition facilitatrice pour une explicitation de ses dimensions propres…
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La recherche partenariale et les différentes appellations qu'elle a prises au cours des ans a connu depuis les années 2000, particulièrement au Canada et au Québec, un essor important. Celui-ci s'explique en partie par la montée en puissance de concepts comme société du savoir et économie du savoir qui ont rapidement été adoptés par les instances étatiques. Ces concepts tablent sur des liens étroits entre la croissance économique des sociétés et la création scientifique. Ce mouvement est accompagné de changements au sein même du processus de production de connaissances par le passage du Mode 1 au Mode 2. Au Québec, la recherche de type partenarial a été confortée par l'adhésion à des modalités de développement socio-économique faisant une place notable à diverses formes de coopération entre les groupes sociaux. Ce travail doctoral vise à mieux cerner la dynamique partenariale qui se déroule au sein de la relation de recherche entre des chercheurs issus du milieu universitaire et des praticiens venant de divers horizons. Afin d'approcher cette connexion chercheurs/praticiens qui se dessine à l'intérieur d'un espace partenarial que nous avons qualifié d'espace de production cognitive, nous avons posé comme hypothèse de départ, à partir d'une revue de littérature et de notre propre expérience de coordonnateur d'alliances de recherches universités-communautés, que : des questions de recherche, des valeurs, des habitudes de travail et des épistémologies occupaient cet espace balisant ainsi la liaison entre les différents participants. Cette hypothèse a été mise à l'épreuve dans le cadre d'une recherche qualitative. Pour ce faire, nous avons choisi d'examiner cinq cas de recherches exemplaires réalisées au sein du Service aux collectivités (SAC) de l'UQAM. Des entrevues semi-dirigées auprès des protagonistes de ces recherches, c'est-à-dire, les chercheurs et chercheuses, les praticiens et praticiennes, les étudiants et étudiantes et les professionnelles du SAC qui assurent la coordination des projets, nous ont permis de décrypter le dispositif partenarial. Par une analyse de contenu des comptes-rendus intégraux des entretiens, nous avons ainsi pu dégager les principales composantes de ces relations partenariales. Cette démarche nous a conduit à revoir notre hypothèse de départ. Nous postulons maintenant que : l'espace de production cognitive est alimenté par un couple question-hypothèse porté tant par les chercheurs que les praticiens; que cette activité de recherche repose sur différentes compétences tant théoriques que pratiques mises de l'avant par les partenaires aux diverses étapes de la recherche; que ces partenaires participent à une communauté de valeurs et d'aptitudes relationnelles tout en partageant le même référent épistémologique. L'ensemble de ces composantes constitue le socle sur lequel le processus partenarial se construit, se déploie et permet ainsi l'élaboration de nouvelles connaissances. ____________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : recherche partenariale, recherche-action, community based research, réflexivité, compétences.
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Afin de réfléchir à la relation dans le soin et son apprentissage, dix-sept personnes sont sollicitées pour participer à une journée de codesign. Cette méthodologie consiste, par une succession d’exercices protocolisés, à favoriser la créativité du groupe via une démarche d’intelligence collective. L’article vise à réfléchir aux conditions par lesquelles une telle méthodologie peut devenir une ressource capacitante pour penser l’apprentissage de l’éthique. Le présent travail souligne notamment la place centrale de l’affectivité dans la construction du climat d’innovation et dans le mécanisme de la pensée divergente. L’article ouvre in fine de nouveaux questionnements sur l’articulation des exercices, l’affectivité, le rôle de l’animateur ou encore celui de l’usager. Les perspectives de recherches invitent à un décloisonnement disciplinaire.
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Afin de réfléchir à la relation dans le soin et son apprentissage, dix-sept personnes sont sollicitées pour participer à une journée de codesign. Cette méthodologie consiste, par une succession d’exercices protocolisés, à favoriser la créativité du groupe via une démarche d’intelligence collective. L’article vise à réfléchir aux conditions par lesquelles une telle méthodologie peut devenir une ressource capacitante pour penser l’apprentissage de l’éthique. Le présent travail souligne notamment la place centrale de l’affectivité dans la construction du climat d’innovation et dans le mécanisme de la pensée divergente. L’article ouvre in fine de nouveaux questionnements sur l’articulation des exercices, l’affectivité, le rôle de l’animateur ou encore celui de l’usager. Les perspectives de recherches invitent à un décloisonnement disciplinaire.
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Ce terme sert à mettre en valeur l’implication d’une pluralité d’acteurs dans l’élaboration et la mise en œuvre d’un projet ou d’une action.
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