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  • Innoweave encourage l’innovation sociale et l’impact à grande échelle au sein du secteur social canadien. Pour ce faire, le programme aide les organismes communautaires à découvrir, développer et adopter de nouvelles approches pour améliorer leur impact.

  • L’investissement d’impact est une stratégie qui nous permet, en tant que fondation privée, de mieux intégrer nos différents actifs financiers pour plus d’impact. Nous investissons dans des entreprises, des organismes et des fonds en vue d’obtenir un impact social et environnemental mesurable, ainsi qu’un rendement financier (GIIN, 2011). Ce genre d’investissements est divisé en deux […]

  • À seulement dix ans de l’échéance fixée pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD), les agences et organisations de développement ont besoin d’innover rapidement dans leurs approches en matière de processus décisionnels et de résolution des problèmes. De nouveaux enseignements et de nouvelles conceptions, nés des usages émergents des technologies, peuvent servir de vecteurs à certaines innovations. Ce document d’orientation applique le nouveau paradigme des intelligences – qui comprend l’intelligence des données, l’intelligence artificielle, l’intelligence collective et l’intelligence incorporée – pour présenter une vue d’ensemble des risques et bénéfices associés à différents usages émergents des technologies aux praticiens du développement ainsi qu’aux responsables et décideurs politiques. Ces analyses sont, dans la mesure du possible, illustrées d’exemples issus du terrain. Nous recommandons dans ce Policy Paper de créer un cadre décisionnel pour aider les praticiens à déterminer s’ils doivent investir dans des technologies émergentes et comment ces dernières peuvent être efficacement mises au service des objectifs de développement. Cette première itération du cadre décisionnel cherche à définir précisément les objectifs de développement pertinents tout en prenant en compte le contexte existant avant d’aborder la question des solutions en évaluant la maturité, les défis, les implications financières et les risques posés par l’usage des technologies, ainsi que la présence de facteurs limitants et de catalyseurs qui pourraient en moduler l’impact et l’adéquation.

  • À seulement dix ans de l’échéance fixée pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD), les agences et organisations de développement ont besoin d’innover rapidement dans leurs approches en matière de processus décisionnels et de résolution des problèmes. De nouveaux enseignements et de nouvelles conceptions, nés des usages émergents des technologies, peuvent servir de vecteurs à certaines innovations. Ce document d’orientation applique le nouveau paradigme des intelligences – qui comprend l’intelligence des données, l’intelligence artificielle, l’intelligence collective et l’intelligence incorporée – pour présenter une vue d’ensemble des risques et bénéfices associés à différents usages émergents des technologies aux praticiens du développement ainsi qu’aux responsables et décideurs politiques. Ces analyses sont, dans la mesure du possible, illustrées d’exemples issus du terrain. Nous recommandons dans ce Policy Paper de créer un cadre décisionnel pour aider les praticiens à déterminer s’ils doivent investir dans des technologies émergentes et comment ces dernières peuvent être efficacement mises au service des objectifs de développement. Cette première itération du cadre décisionnel cherche à définir précisément les objectifs de développement pertinents tout en prenant en compte le contexte existant avant d’aborder la question des solutions en évaluant la maturité, les défis, les implications financières et les risques posés par l’usage des technologies, ainsi que la présence de facteurs limitants et de catalyseurs qui pourraient en moduler l’impact et l’adéquation.

  • Technology is the answer, but what was the question? Introduction Many firms, charities and governments are in favour of more innovation, and like to side with the new against the old. But should they? A moment's reflection shows that it's not altogether coherent (whether intellectually, ethically or in terms of policy) to simply be in favour of innovation, whether that innovation is a product, a service or a social idea. Some innovations are unambiguously good (like penicillin or the telephone). Others are unambiguously bad (like concentration camps or nerve gas). Many are ambiguous. Pesticides kill parasites but also pollute the water supply. New surveillance technologies may increase workplace productivity but leave workers more stressed and unhappy. Smart missiles may be good for the nations deploying them and terrible for the ones on the receiving end.In finance, Paul Volcker, former head of the US Federal Reserve, said that the only good financial innovation he could think of was the automated teller machine. That was an exaggeration. But there is no doubt that many financial innovations destroyed more value than they created, even as they enriched their providers, and that regulators and policy makers failed to distinguish the good from the bad, with very costly results. In technology, too, a similar scepticism had emerged by the late 2010s, with digital social media described as the ‘new tobacco’, associated with harm rather than good, with addiction rather than help. Or, to take another example: when the US Central Intelligence Agency's venture capital arm, In-QTel, invested heavily in firms like Palantir, which then became contractors for the intelligence and military (a prime example of the ‘entrepreneurial state’), it was far from obvious how much this was good or bad for the world.The traditional justification for a capitalist market economy is that the net effects of market-led innovation leave behind far more winners than losers, and that markets are better able to pick technologies than bureaucracies or committees. But even if, overall, the patterns of change generate more winners than losers, there are likely to be some, perhaps many, cases where the opposite happens. It would be useful to know.

  • Technology is the answer, but what was the question? Introduction Many firms, charities and governments are in favour of more innovation, and like to side with the new against the old. But should they? A moment's reflection shows that it's not altogether coherent (whether intellectually, ethically or in terms of policy) to simply be in favour of innovation, whether that innovation is a product, a service or a social idea. Some innovations are unambiguously good (like penicillin or the telephone). Others are unambiguously bad (like concentration camps or nerve gas). Many are ambiguous. Pesticides kill parasites but also pollute the water supply. New surveillance technologies may increase workplace productivity but leave workers more stressed and unhappy. Smart missiles may be good for the nations deploying them and terrible for the ones on the receiving end.In finance, Paul Volcker, former head of the US Federal Reserve, said that the only good financial innovation he could think of was the automated teller machine. That was an exaggeration. But there is no doubt that many financial innovations destroyed more value than they created, even as they enriched their providers, and that regulators and policy makers failed to distinguish the good from the bad, with very costly results. In technology, too, a similar scepticism had emerged by the late 2010s, with digital social media described as the ‘new tobacco’, associated with harm rather than good, with addiction rather than help. Or, to take another example: when the US Central Intelligence Agency's venture capital arm, In-QTel, invested heavily in firms like Palantir, which then became contractors for the intelligence and military (a prime example of the ‘entrepreneurial state’), it was far from obvious how much this was good or bad for the world.The traditional justification for a capitalist market economy is that the net effects of market-led innovation leave behind far more winners than losers, and that markets are better able to pick technologies than bureaucracies or committees. But even if, overall, the patterns of change generate more winners than losers, there are likely to be some, perhaps many, cases where the opposite happens. It would be useful to know.

  • Innoweave encourage l’innovation sociale et l’impact à grande échelle au sein du secteur social canadien. Pour ce faire, le programme aide les organismes communautaires à découvrir, développer et adopter de nouvelles approches pour améliorer leur impact.

  • L’investissement d’impact est une stratégie qui nous permet, en tant que fondation privée, de mieux intégrer nos différents actifs financiers pour plus d’impact. Nous investissons dans des entreprises, des organismes et des fonds en vue d’obtenir un impact social et environnemental mesurable, ainsi qu’un rendement financier (GIIN, 2011). Ce genre d’investissements est divisé en deux […]

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 13:00 (EDT)