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Social finance offers innovative ways to finance solutions to many of society’s most challenging problems by attracting private investments that create both financial returns for investors and desired social and environmental impacts. Community Foundations of Canada (CFC) is working with sector partners to develop a social-finance platform called Outcomes Canada (OC) to facilitate community-driven social finance. Many community initiatives face significant capacity challenges and resourcing gaps. At present, community initiatives bear the burden of navigating a highly decentralized financing ecosystem to secure funding and other support needed to build their capacity and achieve desired outcomes. At the same time, governments, social financiers, philanthropists, and academics seek to find and support community initiatives that are producing results. This gap reflects the need for new tools, innovative financing vehicles and streamlined approaches to support community-driven outcomes in Canada.
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Social finance offers innovative ways to finance solutions to many of society’s most challenging problems by attracting private investments that create both financial returns for investors and desired social and environmental impacts. Community Foundations of Canada (CFC) is working with sector partners to develop a social-finance platform called Outcomes Canada (OC) to facilitate community-driven social finance. Many community initiatives face significant capacity challenges and resourcing gaps. At present, community initiatives bear the burden of navigating a highly decentralized financing ecosystem to secure funding and other support needed to build their capacity and achieve desired outcomes. At the same time, governments, social financiers, philanthropists, and academics seek to find and support community initiatives that are producing results. This gap reflects the need for new tools, innovative financing vehicles and streamlined approaches to support community-driven outcomes in Canada.
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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We sought to co-develop an assessment questionnaire that will allow AI developers, government, and tech-enabled civil society organizations (CSOs) to gauge the level of civic empowerment in their AI system(s) (see Section 4). We categorized the contributions from attendees in terms of existential, epistemic, process-based and a few ready-to-go assessment questions. Our hope was that this set of questions could eventually augment AI certification, audit, and risk assessment tools. At this stage, instead of generating a simple list of best practices, our assessment questionnaire serves to “open Pandora’s box,” explicating the diversity of positions, confronting the challenge in synthesis and implementation, and moving towards meaningful and not merely performative empowerment.
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À l’ère de la transformation numérique et de l’intelligence artificielle, les données et les enjeux qu’elles soulèvent sont sous les feux de la rampe, qu’il s’agisse de données ouvertes ou de données massives (big data). Motivé par le potentiel de leur mise en commun, un nombre croissant d’acteurs publics, privés et de la société civile s’intéresse au partage de données numériques entre tiers pour atteindre des objectifs d’intérêt public ou résoudre des problèmes sociaux complexes. De nouvelles formes de collaboration interorganisationnelle émergent chaque jour en vue de partager, combiner, croiser et valoriser des jeux de données. Ces partenariats de données numériques demandent toutefois temps, efforts, ressources et une collaboration soutenue. Leur succès exige également la mise en place d’une solide gouvernance des données apte à protéger le public et maintenir sa confiance. Les organisations désireuses de se lancer dans de telles initiatives trouveront dans le présent rapport une discussion des différents facteurs de succès et d’activation des partenariats de données numériques ainsi que des informations pratiques pour les guider dans la construction d’une gouvernance des données partagées qui soit collaborative, responsable, efficace et imputable.
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À l’ère de la transformation numérique et de l’intelligence artificielle, les données et les enjeux qu’elles soulèvent sont sous les feux de la rampe, qu’il s’agisse de données ouvertes ou de données massives (big data). Motivé par le potentiel de leur mise en commun, un nombre croissant d’acteurs publics, privés et de la société civile s’intéresse au partage de données numériques entre tiers pour atteindre des objectifs d’intérêt public ou résoudre des problèmes sociaux complexes. De nouvelles formes de collaboration interorganisationnelle émergent chaque jour en vue de partager, combiner, croiser et valoriser des jeux de données. Ces partenariats de données numériques demandent toutefois temps, efforts, ressources et une collaboration soutenue. Leur succès exige également la mise en place d’une solide gouvernance des données apte à protéger le public et maintenir sa confiance. Les organisations désireuses de se lancer dans de telles initiatives trouveront dans le présent rapport une discussion des différents facteurs de succès et d’activation des partenariats de données numériques ainsi que des informations pratiques pour les guider dans la construction d’une gouvernance des données partagées qui soit collaborative, responsable, efficace et imputable.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 1 – Planification. Cette étape est prévue pour planifier la mise en œuvre d’une initiative et élaborer un plan de déploiement, incluant la définition collective d’une vision de changement, clarifier les intentions d’apprentissage et des méthodes de travail collectives. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 1 – Planification. Cette étape est prévue pour planifier la mise en œuvre d’une initiative et élaborer un plan de déploiement, incluant la définition collective d’une vision de changement, clarifier les intentions d’apprentissage et des méthodes de travail collectives. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 3 – Intensification, pour 3 ans ou moins. Cette étape est prévue pour intensifier une initiative particulièrement porteuse, qui a déjà été déployée en intégrant les principes de l’impact collectif, en l’apportant à plus grande échelle pour viser des retombées plus significatives à l’intérieur d’un quartier ou avec d’autres quartiers. En intensification, un quartier est appelé à mobiliser des stratégies collectives qui visent des changements systémiques. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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We sought to co-develop an assessment questionnaire that will allow AI developers, government, and tech-enabled civil society organizations (CSOs) to gauge the level of civic empowerment in their AI system(s) (see Section 4). We categorized the contributions from attendees in terms of existential, epistemic, process-based and a few ready-to-go assessment questions. Our hope was that this set of questions could eventually augment AI certification, audit, and risk assessment tools. At this stage, instead of generating a simple list of best practices, our assessment questionnaire serves to “open Pandora’s box,” explicating the diversity of positions, confronting the challenge in synthesis and implementation, and moving towards meaningful and not merely performative empowerment.
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L'UNESCO a récemment lancé des consultations internationales visant à élaborer une recommandation sur la science ouverte qui sera adoptée par les États membres en 2021. Cette recommandation comprendra une définition commune, un ensemble de valeurs partagées et des propositions d'action. À l'invitation de la Commission canadienne pour l'UNESCO, ce document vise à contribuer au processus de consultation en répondant aux questions suivantes : • Pourquoi et comment la science devrait-elle être « ouverte » ? Pour qui et avec qui ? • S'agit-il simplement de mettre les articles et les données scientifiques à la disposition des chercheurs et chercheuses du monde entier au moment de leur publication, afin qu'ils et elles ne passent pas à côté de résultats importants qui pourraient contribuer à leurs travaux ou les accélérer ? • Cette ouverture pourrait-elle également permettre aux citoyennes et citoyens du monde entier de contribuer à la science avec leurs capacités et expertises, par exemple par le biais de la science citoyenne ou de projets de recherche-action participative ? • Une science véritablement ouverte inclut-elle une pluralité de modes de connaissance, y compris ceux propres aux cultures autochtones, aux cultures des pays du Sud et à d'autres groupes exclus et marginalisés dans le Nord global ? Le document comporte quatre sections : « La science ouverte et la pandémie » présente et explore différentes formes d'ouverture qui sont apparues dans le cadre d’une crise où la science semble soudainement essentielle au bien-être de tous. Les trois sections suivantes expliquent les principales dimensions de trois formes d'ouverture scientifique : l'ouverture aux publications et aux données, 2 l'ouverture à la société, et l'ouverture aux savoirs2 et épistémologies3 exclus. Nous concluons par des considérations. Points saillants • Même si de nombreux pays et universitaires considèrent que la « science ouverte » désigne la même chose que le « libre accès » aux publications et aux données, nous soutenons qu'elle peut et doit aller plus loin. • En analysant toutes les possibilités d’« ouverture » de la science pendant la pandémie COVID-19, nous montrons que, pour être plus pertinente, la science pourrait également s'ouvrir à la société, en particulier aux organisations de la société civile et aux mouvements sociaux. • Nous suggérons aussi une plus grande ouverture aux savoirs et aux systèmes de pensée qui proviennent des peuples autochtones, des minorités et des cultures des pays du Sud. Ces savoirs sont souvent ignorés ou exclus de la science eurocentrique, alors qu'ils pourraient enrichir les conversations scientifiques. • Enfin, nous proposons des considérations pour chacune de ces formes d'ouverture afin de parvenir à une science ouverte équitable et décolonisée, pour et avec les communautés, au-delà du libre accès.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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