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  • L'innovation sociale consiste à élaborer de nouveaux projets, services et modèles afin de mieux répondre aux questions sociales. Les citoyens et les partenaires du secteur privé, notamment la société civile, sont invités à apporter leur contribution pour améliorer les services sociaux.

  • Nous présentons dans cet article les résultats d’une enquête sur les politiques publiques de régulation de l’intelligence artificielle et en particulier sur les stratégies mises en œuvre dans des cadres socio-politiques aux échelles nationales, européennes et internationales. La France a créé des instances dans lesquels des « frottements » entre acteurs différents sont possibles, comme les groupes d’experts ou le Partenariat Mondial sur l’Intelligence Artificielle. Nous considérons que le travail de la part de l’ensemble des groupes sociaux, impliqués dans les instances que nous observons, est consubstantiel à la régulation. Les acteurs publics et privés s’organisent pour échanger et interagir de façon structurée, notamment par la mise en place de ces instances, comme le PMIA. Les dispositifs et instruments, auxquels les différents acteurs participent, contribuent à conférer un sens aux activités de régulation. Notre hypothèse repose sur l’émergence d’un « modèle français » de la régulation qui tend à promouvoir la « confiance » et dont le sens est de parvenir à l’acceptabilité sociale de l’IA.

  • Nous présentons dans cet article les résultats d’une enquête sur les politiques publiques de régulation de l’intelligence artificielle et en particulier sur les stratégies mises en œuvre dans des cadres socio-politiques aux échelles nationales, européennes et internationales. La France a créé des instances dans lesquels des « frottements » entre acteurs différents sont possibles, comme les groupes d’experts ou le Partenariat Mondial sur l’Intelligence Artificielle. Nous considérons que le travail de la part de l’ensemble des groupes sociaux, impliqués dans les instances que nous observons, est consubstantiel à la régulation. Les acteurs publics et privés s’organisent pour échanger et interagir de façon structurée, notamment par la mise en place de ces instances, comme le PMIA. Les dispositifs et instruments, auxquels les différents acteurs participent, contribuent à conférer un sens aux activités de régulation. Notre hypothèse repose sur l’émergence d’un « modèle français » de la régulation qui tend à promouvoir la « confiance » et dont le sens est de parvenir à l’acceptabilité sociale de l’IA.

  • En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?

  • En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?

  • Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.

  • Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.

  • L'innovation sociale consiste à élaborer de nouveaux projets, services et modèles afin de mieux répondre aux questions sociales. Les citoyens et les partenaires du secteur privé, notamment la société civile, sont invités à apporter leur contribution pour améliorer les services sociaux.

Dernière mise à jour depuis la base de données : 18/07/2025 05:00 (EDT)

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