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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Titre officiel : Recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d'innovation sociale et de finance sociale Le Canada est une terre d'innovateurs. Notre pays a une riche tradition d'innovation à des fins sociales et environnementales, que l'on pense aux peuples autochtones dont les sociétés ont prospéré grâce à l'interdépendance de leur culture et à leur ingéniosité, aux caisses populaires établies au tournant du 20e siècle pour assurer l'accès au crédit dans leur région ou encore aux premiers réseaux de bénévoles et de donateurs qui ont fait leur apparition pendant la Première Guerre mondiale pour recueillir les fonds à l'appui de leurs collectivités. Aujourd'hui, plus que jamais, nous devons tirer parti de cet esprit novateur. Les défis sociaux, économiques et environnementaux complexes auxquels fait face notre pays – l'itinérance, les changements climatiques, l'emploi des jeunes et la crise des opioïdes, pour ne nommer que ceux-là – exigent de la créativité et des solutions transformatrices. Si nous voulons faire mieux, il nous incombe de travailler différemment.
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Titre officiel : Recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d'innovation sociale et de finance sociale Le Canada est une terre d'innovateurs. Notre pays a une riche tradition d'innovation à des fins sociales et environnementales, que l'on pense aux peuples autochtones dont les sociétés ont prospéré grâce à l'interdépendance de leur culture et à leur ingéniosité, aux caisses populaires établies au tournant du 20e siècle pour assurer l'accès au crédit dans leur région ou encore aux premiers réseaux de bénévoles et de donateurs qui ont fait leur apparition pendant la Première Guerre mondiale pour recueillir les fonds à l'appui de leurs collectivités. Aujourd'hui, plus que jamais, nous devons tirer parti de cet esprit novateur. Les défis sociaux, économiques et environnementaux complexes auxquels fait face notre pays – l'itinérance, les changements climatiques, l'emploi des jeunes et la crise des opioïdes, pour ne nommer que ceux-là – exigent de la créativité et des solutions transformatrices. Si nous voulons faire mieux, il nous incombe de travailler différemment.
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Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
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Avec le pr é sent avis, le Conseil conclut – au moins provisoirement – le cycle des travaux introduits en d é cembre 1997 avec la parution du Rapport de conjoncture 1998 : Pour une politique qu é b é coise de l ’ innovation . Cet avis, Innovation sociale et innovation technologique : l ’ apport de la recherche en sciences sociales et humaines traite de deux th è mes certes fort distincts, mais tout de m ê me apparen- t é s. D ’ une part, il attire l ’ attention sur le caract è re essentiel de la contribution des sciences sociales et humaines à la compr é hension des faits et des probl è mes de culture, d ’ organisa- tion et de soci é t é , de m ê me que sur leur r ô le dans la conception et la mise en œ uvre de pratiques sociales novatrices, c ’ est- à -dire d ’ innovations sociales . D ’ autre part, il rappelle que les sciences sociales et humaines ont aussi une contribution non moins essentielle à apporter à la compr é hension et à la gestion de l ’ innovation technologi- que , qui est un processus organisationnel et social, et non seulement technoscientifique. Plusieurs des avis ant é rieurs du Conseil avaient d é j à soulign é que les questions de gestion et d ’ organisation du travail sont au c œ ur du processus d ’ innovation technologique et condition- nent largement son succ è s. Toutefois, le Conseil n ’ avait pas jusqu ’ ici au m ê me degr é insist é sur le r ô le capital de l ’ innovation sociale. Les politiques publiques, l ’ organisation des services sociaux ou l ’ organisation scolaire et la vie p é dagogique sont, parmi beaucoup d ’ autres, sans cesse et à juste titre, des objets de pr é occupation dans la vie civique et les d é bats de soci é t é . Ce sont des domaines en demande d ’ innovations sociales. La pertinence et l ’ efficacit é de ces innovations dans les organisations et les pratiques seront largement fonction de la qualit é de notre compr é hension des ph é no- m è nes de soci é t é et des comportements, c ’ est- à -dire de la vigueur et de la qualit é de notre recours à la recherche en sciences sociales et humaines et de notre succ è s à en valoriser les r é sultats. Dans cet avis, le Conseil est tout à fait conscient de ne pas avoir trait é dans toute son ampleur la question du r ô le de la recherche en sciences sociales et humaines. Son objet est circonscrit (ainsi il ne traite pas des probl è mes de la formation, non plus que du r ô le proprement culturel de ces sciences). Il s ’ attache à fournir un é clairage sur leur contribution à l ’ innovation technologique et à l ’ innovation sociale. C ’ est notre conviction que cette contribution est tout à fait essentielle.
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