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Résultats 18 ressources
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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À l’ère de la transformation numérique et de l’intelligence artificielle, les données et les enjeux qu’elles soulèvent sont sous les feux de la rampe, qu’il s’agisse de données ouvertes ou de données massives (big data). Motivé par le potentiel de leur mise en commun, un nombre croissant d’acteurs publics, privés et de la société civile s’intéresse au partage de données numériques entre tiers pour atteindre des objectifs d’intérêt public ou résoudre des problèmes sociaux complexes. De nouvelles formes de collaboration interorganisationnelle émergent chaque jour en vue de partager, combiner, croiser et valoriser des jeux de données. Ces partenariats de données numériques demandent toutefois temps, efforts, ressources et une collaboration soutenue. Leur succès exige également la mise en place d’une solide gouvernance des données apte à protéger le public et maintenir sa confiance. Les organisations désireuses de se lancer dans de telles initiatives trouveront dans le présent rapport une discussion des différents facteurs de succès et d’activation des partenariats de données numériques ainsi que des informations pratiques pour les guider dans la construction d’une gouvernance des données partagées qui soit collaborative, responsable, efficace et imputable.
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À l’ère de la transformation numérique et de l’intelligence artificielle, les données et les enjeux qu’elles soulèvent sont sous les feux de la rampe, qu’il s’agisse de données ouvertes ou de données massives (big data). Motivé par le potentiel de leur mise en commun, un nombre croissant d’acteurs publics, privés et de la société civile s’intéresse au partage de données numériques entre tiers pour atteindre des objectifs d’intérêt public ou résoudre des problèmes sociaux complexes. De nouvelles formes de collaboration interorganisationnelle émergent chaque jour en vue de partager, combiner, croiser et valoriser des jeux de données. Ces partenariats de données numériques demandent toutefois temps, efforts, ressources et une collaboration soutenue. Leur succès exige également la mise en place d’une solide gouvernance des données apte à protéger le public et maintenir sa confiance. Les organisations désireuses de se lancer dans de telles initiatives trouveront dans le présent rapport une discussion des différents facteurs de succès et d’activation des partenariats de données numériques ainsi que des informations pratiques pour les guider dans la construction d’une gouvernance des données partagées qui soit collaborative, responsable, efficace et imputable.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 1 – Planification. Cette étape est prévue pour planifier la mise en œuvre d’une initiative et élaborer un plan de déploiement, incluant la définition collective d’une vision de changement, clarifier les intentions d’apprentissage et des méthodes de travail collectives. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 1 – Planification. Cette étape est prévue pour planifier la mise en œuvre d’une initiative et élaborer un plan de déploiement, incluant la définition collective d’une vision de changement, clarifier les intentions d’apprentissage et des méthodes de travail collectives. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce document s’adresse aux quartiers qui souhaitent intégrer la phase 2 du PIC à l’étape 3 – Intensification, pour 3 ans ou moins. Cette étape est prévue pour intensifier une initiative particulièrement porteuse, qui a déjà été déployée en intégrant les principes de l’impact collectif, en l’apportant à plus grande échelle pour viser des retombées plus significatives à l’intérieur d’un quartier ou avec d’autres quartiers. En intensification, un quartier est appelé à mobiliser des stratégies collectives qui visent des changements systémiques. Une proposition pourrait être soumise à chaque année jusqu’en 2025 aux moments suivants : 1er février / 29 mars / 14 octobre.
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Ce docment se veut un guide de référence pour le PIC phase 2 qui présente ses éléments les plus importants afin que toute la communauté PIC s'appuie sur des principes directeurs et des apprentissages communs.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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Voici donc, au terme de 10 mois de discussions, un document concis formulant des propositions de recommandations afin d’identifier 1) des voies privilégiées pour assurer que les universités québécoises demeurent à la pointe de l’évolution mondiale des sciences et des pratiques administratives, culturelles et sociales et qu’elles restent pertinentes, créatives et audacieuses, et 2) les réformes souhaitables dans l’organisation et les pratiques des établissements. Ce document est le résultat d’échanges soutenus d’un groupe de travail formé de toutes les composantes de l’université, auxquelles se sont joints des hauts fonctionnaires et un haut dirigeant d’entreprise. Il s’agit en quelque sorte de la première phase de la réflexion sur l’avenir des universités au service d’une société apprenante. La deuxième composante de la réflexion est maintenant prête à être orchestrée, à savoir un travail de délibération collective au sujet des hypothèses et des recommandations du groupe de travail. Plus précisément, le présent document, qui sera diffusé à la mi-septembre 2020, fera l’objet d’un vaste débat lors d’une activité de réflexion à laquelle seront conviés, cet automne, le monde universitaire, les ministères, les organismes publics et les groupes de la société civile intéressés par les questions universitaires. À partir des travaux initiaux de ce groupe de travail, l’objectif de cette délibération collective est de favoriser un large débat sur le rapport et les recommandations du groupe. Au terme de cette délibération, le groupe s’est vu mandater pour définir les lignes de force de la journée et les consensus qui se sont dégagés, et formuler des recommandations avec des propositions de réformes ou pistes d’action auprès du ministère de l’Enseignement supérieur.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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In this paper, we discuss how universities can become more essential players in the digital innovation and artificial intelligence (DI&AI) ecosystem and increase their capacity to support the “responsible” development and use of these technologies. The four sections of Part I explore the different ways in which universities can change the future of DI&AI and how DI&AI might transform the world of universities. Concrete examples of innovative and inspiring academic practices related to various challenges and opportunities explored in the paper are highlighted throughout. In section 1, we recognize that academics in the social and human sciences (SHS) have started to develop knowledge, tools and methodologies around the concept of responsible DI&AI. However, these have yet to be integrated in organizations and policy, which struggle to anticipate the societal impact of producing and using cutting-edge DI&AI systems. Collaboration between SHS scientists, their Science, Technology, Engineering and Mathematics (STEM) colleagues and non-academic actors in the DI&AI ecosystem is not yet commonplace. We explore some of the impediments to this collaboration, while stressing its increasing importance in the face of growing public mistrust of organizations operating DI&AI and collecting and using personal data. Universities have not yet adopted changes required to capitalize on their status as trust brokers and engage with civil society and other stakeholders on issues of responsible innovation.
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En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?
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En effectuant une revue de littérature sur les différents types de conseillers des décideurs politiques (incluant les fonctionnaires), leur rapport aux connaissances scientifiques et leur rôle dans l’élaboration des politiques publiques (Morestin, 2017), nous n’avons trouvé aucune étude portant sur les fonctionnaires municipaux au Canada. Nous avons donc réalisé des entrevues avec des fonctionnaires de quelques municipalités canadiennes. Dans ce document, nous présentons leur point de vue en réponse à des questions que peuvent se poser les acteurs de la santé publique : - Si je souhaite partager des connaissances avec une municipalité, qui approcher? - Que fait déjà la municipalité dans mon domaine de travail? - Comment établir le premier contact? - Quels types de connaissances les fonctionnaires municipaux jugent-ils utiles? - Comment entretenir de bonnes interactions? - Quel échéancier prévoir? - Officialiser une collaboration avec une municipalité : pourquoi, et sous quelle forme?
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Le présent document est le fruit des principales leçons apprises durant l’élaboration et la mise en œuvre de Montréal sans obstacle. S’il n’existe pas d’approche universelle pour planifier un événement accessible, nous espérons que le présent guide servira d’outil pratique à d’autres praticiennes et praticiens de l’innovation sociale lorsqu’ils chercheront à rendre leurs activités plus inclusives et accessibles à tous. Les recommandations présentées dans les pages qui suivent doivent être adaptées à chaque initiative en fonction de ses objectifs, de ses activités et de ses participants.
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Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.
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Dans le but d’atteindre une des orientations stratégiques de l’établissement « d’être un établissement de première ligne à vocation universitaire, chef de file en matière de développement et de soutien aux pratiques de qualité et aux pratiques novatrices » 1 , l’établissement s’est doté d’une politique institutionnelle de la recherche, de l’évaluation et du transfert de connaissances 2pour assurer la réalisation d’activités de développement et d’utilisation des connaissances de haut niveau (recherche, évaluation et transfert de connaissances) et ainsi, contribuer à l’amélioration continue de la qualité des soins et des services et à l’innovation en première ligne. Le transfert de connaissances constitue une dimension importante de la mission universitaire de l’établissement. Le CSSS de la Vieille-Capitale a fait du transfert de connaissances un domaine d’expertise à investir. Ce volet de la mission universitaire est en développement au Québec. Afin de poursuivre le développement des connaissances dans ce domaine, l’équipe responsable du transfert s’est étroitement associée aux chercheurs et aux partenaires de l’axe transversal sur le transfert de connaissances au sein du centre de recherche sur les soins et les services de première ligne de l’Université Laval (CERSSPL-UL) ainsi qu’à d’autres chercheurs reconnus dans le domaine au Québec. Les activités de transfert de connaissances sont conçues et structurées de façon à assurer un arrimage étroit entre les milieux de pratique et de gestion de l’établissement et l’équipe de recherche et sa programmation, et ce, en cohérence avec les orientations stratégiques de l’établissement. Le transfert de connaissances concerne un ensemble d’acteurs impliqués dans le développement et l’utilisation des meilleures connaissances pour qu’elles soient mises au service de la population et procurent les retombées attendues au plan de l’amélioration continue de la qualité et de l’innovation. Les chercheurs, le personnel, les gestionnaires, les médecins, les sages-femmes, les stagiaires, les usagers et leurs proches, les bénévoles, les partenaires détiennent des savoirs riches et diversifiés qui font quotidiennement l’objet de transfert de connaissances.
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1. Idéation, dialogue et maillages
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2. Planification
Approches thématiques et disciplinaires
- Santé publique (3)