Rechercher
Bibliographie complète 924 ressources
-
Le territoire (Nitaskinan), dans la pensée autochtone, est une notion centrale et pluridimensionnelle ; elle induit un territoire historique, géographique et politique revendiqué ainsi qu'un territoire cosmologique inscrit au cœur de rites et de croyances ancestrales. C'est l'articulation et l'harmonisation de ce territoire pluriforme que l'artiste atikamekw Eruoma Awahish entreprend de présenter dans son œuvre. Ce mémoire adresse la manière dont l'artiste représente le territoire, à la fois dans une volonté d'ancrage traditionnel et de réactualisation contemporaine dans une perspective diachronique. L'artiste déploie une esthétique franche et colorée, elle s'emploie à renverser les codes du colonialisme et développe des stratégies afin de contribuer aux revendications et à l'affirmation territoriale des Premières Nations. Par le biais d'une production artistique politisée, Eruoma Awashish applique un prisme décolonisateur ; elle réinvestit une histoire coloniale et offre aux symboles et aux narrations autochtones une place centrale et active. Ce mémoire met subséquemment l'emphase sur la capacité des nations autochtones à s'adapter, à s'auto-définir et à s'auto-représenter. Les artistes se font les témoins et les vecteurs d'une affirmation et d'une recherche de souveraineté qui, chez Awashish, est à la fois visuelle, culturelle et territoriale. Déployant une approche interdisciplinaire, à l'image de la production de l'artiste, ce mémoire prend pour appui les écrits de penseur.se.s autochtones afin de présenter la démarche et la production d'une artiste ancrée dans un contexte contemporain complexe soumis à de nombreuses revendications politiques, culturelles et territoriales. Si les œuvres d'Awashish transmettent et diffusent ces revendications, elles sont toutefois, avant tout, le reflet de croyances et d'une histoire territoriale atikamekw.
-
Cet article se penche sur la portée philosophique du projet intitulé Jardins éphémères, un ensemble de onze jardins temporaires réalisés dans le cadre des activités visant à célébrer le 400ₑ anniversaire de la fondation de la ville de Québec au cours de l’été 2008. L’organisation, les intentions et les principaux thèmes sous-jacents aux différents projets sont présentés dans leur ensemble. Le jardin intitulé « Wampum 400 », créé par deux artistes autochtones, Domingo Cisneros et Sonia Robertson Piekuakamilnu, fait l’objet d’un commentaire plus long. L’analyse montre que le projet Jardins éphémères dans son ensemble incarnait les principaux enjeux actuels du jardin en ville. Certains aspects reconduisaient la vision idéelle du jardin, d’autres satisfaisaient la logique touristique de l’événement et d’autres, enfin, développaient une position critique qui concerne la réappropriation d’un espace à usage collectif et, du coup, interrogeaient les fondements épistémologiques et ontologiques du « jardin ».
-
De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d'exposition de 12 œuvres d'artistes autochtones dans le cadre du Concours d'œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l'ensemble de cette exposition afin d'en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires
-
« Tantôt présents ou documents figurés, tantôt considérés comme de la monnaie, les wampums sont des colliers de perles fabriquées de coquillages marins qui étaient utilisés par les Indiens du Nord-Est de l'Amérique et les Européens. Si des milliers de wampums sont cités dans les archives coloniales, peu d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous et la tradition de leur échange a depuis longtemps cessé d'être pratiquée. Les wampums du Musée de la civilisation de Québec ont été acquis à la fin du XIXe siècle dans un contexte particulier où collectionneurs et numismates s'arrachaient les objets amérindiens et où ceux-ci, pour diverses raisons, acceptaient de s'en départir. Cette collection n'avait jamais été étudiée, ni par les historiens, ni par les ethnologues ou par les muséologues. Par un raisonnement critique, en avançant toujours avec prudence et sans jamais céder à la simplification, Jonathan C. Lainey soulève les difficultés et les problèmes reliés à leur étude et à leur interprétation. Il reconstitue méticuleusement les différentes étapes de la vie des objets, leur muséification et le sens qu'on peut leur donner aujourd'hui. Plus qu'une simple étude sur les wampums, cet ouvrage a le mérite de porter un regard sur certaines réalités historiques relatives à la culture matérielle d'un groupe amérindien de la région de Québec, les Hurons de Lorette. Ce sont le rapport à l'Autre, les processus d'appropriation et les transferts culturels qui sont abordés par l'étude de la transformation de l'usage des wampums, devenus aujourd'hui objets de musée. Reposant sur une ethnographie et une iconographie riches et détaillées, ce livre constitue une contribution importante aux études ethnohistoriques et aux études amérindiennes de l'Amérique du Nord-Est. »-- Résumé de l'éditeur.
-
La crise d'Oka marque un véritable moment de rupture dans lesrelatlons entre les premiers peuples et les colonies de peuplement. Dans les suites immédiates de l’échec de l’accord du lac Meech, ce long siège armé de 78 jours rend visible une présence autochtone que les sociétés québécoise et canadienne avaient imaginée évanouie. Àl’inverse, l’opposition à l’empiétement mis en œuvre à Kanehsatàke età Kahnawàke réactive une longue histolre de résistance au projet colonial d'appropriation des terres et d'effacement des peuples autochtones. Ce livre envisage la crise d'Oka, ou la résistance à Kanehsatàke, comme un espace de focalisatlon où se donne à voir larelation globale entre les peuples. Qu'est-ce que l'événement fait surgir, transforme et crée, dans la scénographie du siège, mais aussi dans les films documentaires et les récits littéraires, autochtones et allochtones? À l'heure où une nouvelle génération revient sur cette crise politique aux enjeux non résolus, ce livre ouvre un espace où entrent en relation et s'affrontent différents intérêts, connaissances et expressions relatifs à ce conflit territorial. Il engage une réflexion épistémologique essentielle à un processus de décolonisation aussi impératif qu'exigeant.
-
Nadia Myre is a multidisciplinary artist whose work explores themes of language, culture, and memory, and who sources the culture of her Algonquin ancestors as a way of confronting contemporary realities. This monograph provides a comprehensive first look at this Montreal-based artist's remarkable career
-
Encounters on Contested Lands analyzes films, plays, visual art, and protest marches by Indigenous artists in Québec, Canada, to explore the performance of cultural identity, sovereignty, and nationhood in Québec's independence movement
-
"This dissertation traces the presence of installation-based practices among artists of Aboriginal ancestry via selected exhibitions across Canada. It begins with a methodological perspective on Canadian art history, federal law, and human science, as a means of establishing a contextual backdrop for the art under consideration. The rise of an Indian empowerment movement during the twentieth century is then shown to take on an international voice which had cultural ramifications at the 1967 Canadian International and Universal Exhibition. Nascent signs of a multi-mediatic aesthetic are distinguished in selected works in Canadian Indian Art '74, as well as through Native-run visual arts programs. First Nations art history is charted via new Canadian art narratives starting in the early 1970s, followed by the development of spatial productions and hybrid discourses in New Work By a New Generation in 1982, and Stardusters in 1986. The final chapter opens with a history of installation art since the Second World War, as related to the pronounced presence of multi-mediactic works in Beyond History in 1989. Post-colonial and postmodern theories are deployed to conclusively situate both the artistic and political concerns featured throughout this study, and lead into the analysis of selected installations at Indigena: Contemporary Native Perspectives and Land, Spirit, Power: First Nations at the National Gallery of Canada. These 1992 shows in the national capital region ultimately confirm the maturation of a particular socio-political aesthetic that tested issues of Canadian identity, while signifying Aboriginal sites of difference."--
-
Ce mémoire est globalement axé sur la légitimité de la notion d'identité dans les contextes postcolonial et postmoderne. Plus précisément, il porte sur le concept de métissage dans l'art actuel à l'heure de la mondialisation culturelle, lieu propice à un renouvellement de l'identité et de l'imaginaire pour les communautés des Premières Nations d'Amérique du Nord. Il est divisé en deux parties. Les deux premiers chapitres énoncent une perspective socio-ethnohistorique autour des notions d'identité et de métissage, alors que le troisième chapitre expose un point de vue analytique à partir d'un corpus d'oeuvres de trois femmes artistes autochtones du Québec et de l'Ontario s'exécutant sur la scène artistique contemporaine, soit Sonia Robertson, Sylvie Paré et Rebecca Belmore. Plus spécifiquement, le premier chapitre fait état des connaissances et des discours sur les définitions même d'identité et de métissage dans les contextes colonial / postcolonial et moderne / postmoderne. Par extension, je pose cette question concernant l'hybridité culturelle: s'agit-il d'un principe d'homogénéisation et d'essentialisation des cultures ou d'un facteur garant d'hétérogénéité, favorable au mélange et aux échanges interculturels ? Le deuxième chapitre, quant à lui, énonce les contextes de dépossession territoriale et d'exiguïté culturelle dans lesquels ont été contraints les peuples des Premières Nations depuis l'époque coloniale. Il fait aussi mention des métissages artistiques (post)postmodernes, qui contribuent à un renouveau de l'imaginaire amérindien. Dans un esprit à la fois de contestation face à l'image folklorisée de l'« Indien » et de transmission des valeurs traditionnelles, les artistes autochtones font place à la réappropriation culturelle. Enfin, le troisième chapitre souligne les parcours identitaires de Sonia Robertson (Ilnue), Sylvie Paré (métisse huronne-wendat) et Rebecca Belmore (Anishinabekwe). À titre de comparaison, j'analyse un corpus d'installations et de performances sous le thème de la mémoire et de l'identité en lien avec les concepts élaborés dans les chapitres précédents. Le choix d'examiner le travail de trois femmes artistes provenant de communautés différentes permet de rendre compte de réflexions personnelles de la part de femmes autochtones face à la culture dominante et par rapport à leur culture d'origine. Ce choix vise par ailleurs à circonscrire, au sein même de leur production, l'importance de la tradition en fonction de leur affirmation identitaire. Je souhaite ainsi étudier comment ces propositions se positionnent dans un contexte de déterritorialisation culturelle en fonction d'une réalité post(néo)colonialiste, corrélative d'un entre-deux mondes. Pour conclure, je reviens sur les questions d'identité, de mémoire et de territoire en soulignant l'importance idéologique du combat identitaire des communautés autochtones, qui vise la mise en échec des préjugés et des constructions mythiques persistantes entre le « Blanc » et l' « Indien ». Je mesure en ce sens l'impact que pourrait avoir la pensée universelle amérindienne sur nos sociétés hypermodernes en crise et en quête de valeurs.
-
Depuis la « découverte de l’Amérique », les cosmologies amérindiennes et inuit n’ont cessé de nourrir l’imaginaire et les fantasmes de l’Occident. Les chroniqueurs missionnaires ont introduit un paradoxe qui persiste de nos jours, les Amérindiens et les Inuit étant souvent décrits comme des êtres religieux mais sans véritable religion (Désy, 1988 ; Gélinas et Teasdale, 2005). La notion de spiritualité est une manière commode de reproduire ce point de vue. D’une part, elle permet de regrouper ...
-
Native artists of Quebec working in performance art set up actions that are similar to contemporary forms of rituals. These works have sometimes a poetic or “shamanic” character, are sometimes disturbing, especially through the critique of the clichés about First Nations, or mix those two components. They committed the body of the artist and the audience, while making the Native American cultural expression a both artistic and identity performance
-
Cette thèse aborde des pratiques performatives contemporaines qui détournent les représentations conventionnelles des Premières Nations d'Amérique du Nord, pour dénoncer ou déjouer les clichés qui leur sont associés, pour exprimer ou évoquer l'amérindianité de manière critique et créative, et pour mettre en place une représentation personnelle et non conventionnelle du sujet amérindien. Les œuvres ici étudiées ont été réalisées dans les trente dernières années et sont issues principalement de l'art de performance (performance art) mais aussi des arts visuels et de la poésie, parfois combinés sous un mode interdisciplinaire. Ce corpus réunit, à la manière d'un commissariat d'exposition, des œuvres choisies parmi le travail de douze créateurs principalement (mais pas exclusivement) amérindiens : KC Adams, Lori Blondeau, Yves Boisvert, Jimmie Durham, Marvin Francis, Coco Fusco, Guillermo Gomez-Pena, Edgar Heap of Birds, Terrance Houle, James Luna, Kent Monkman et Josée Yvon. La diversité de leurs pratiques respectives permet de dresser un éventail varié des différentes possibilités de détournement des stéréotypes liés aux Premières Nations. La réflexion menée avec ces œuvres se situe dans un croisement entre les théories de la performance (performance studies), les études culturelles (cultural studies) et l'étude des Premières Nations (native studies). Elle est également nourrie par des travaux issus de la sémiologie, de l'histoire de l'art, des études littéraires et de l'anthropologie. Cette recherche interdisciplinaire aborde dans un premier temps (chapitre 1) la construction symbolique de l'amérindianité, qui se trouve élargie et défigée par les pratiques performatives abordées dans cette thèse. Trois œuvres de performance sont ensuite analysées de manière détaillée : The Artifact Piece (1987) de James Luna (chapitre 2), Two Undiscovered Amerindians (1992-1994) de Coco Fusco et Guillermo Gomez-Pena (chapitre 3) et Putting the Wild back to the West (2004-2010) de Lori Blondeau et Adrian Stimson (chapitre 4). Le chapitre 5 étudie quant à lui une sélection d'œuvres artistiques et littéraires, qui possèdent une forte dimension performative, parmi le travail des autres artistes et écrivains mentionnés plus tôt. L'analyse de ces pratiques performatives se montre particulièrement attentive à la tension entre stéréotype et subjectivité, de même qu'entre violence et ironie. Elle vise à démontrer qu'il est possible, en détournant les signes qui évoquent les Premières Nations de manière conventionnelle et reconnaissable, d'exprimer autrement l'amérindianité. Ces détournements affectent la perception des Premières Nations chez le spectateur et permettent de disconvenir des idées reçues à leur sujet. Ils mettent également en œuvre une amérindianité performative qui s'incarne par une attitude ironique, inscrivant l'expression identitaire et culturelle dans une dynamique qui remet en mouvement la représentation et la signification.
-
Interview vidéo et écrite.
-
This article considers the way certain Indigenous artists are reviving conceptions of territory and history that are anchored in secular epistemologies and the construction of knowledge. Such conceptions provide a way for these artists to respond to colonial appropriation, reactivate interrupted dialogues, engender new forms of territorialization, and create places of commemoration and memory preservation. Similar to the historiographical deconstruction performed by thinkers and activists such as Vine Deloria Jr. and Taiaiake Alfred, these artists’ works offer a model of autonomy and environmental balance. While some are reviving mnemonic practices, such as the making of wampum, which traditionally preserve memories of alliances and conflicts, others have embraced Internet and selfie technologies as a means of creating new spaces for speech and recognition
-
La question de la mémoire en condition hyperconnectée s’articule également dans le potentiel des réseaux sociaux pour la mise en visibilité de différents mouvements activistes autochtones au Canada. À travers deux études de cas, le projet The Indigenous Archival Photo Project par l’écrivain Paul Seesequasis (Cri des plaines) et la page Instagram What Brings Us Here mettant en vedette les groupes d’activistes à Winnipeg The Bear Clan et Drag the Red, ce chapitre réfléchit à la manière dont les créateur.rice.s autochtones utilisent les réseaux sociaux comme des vecteurs d’agentivité narrative témoignant de différents enjeux touchant les communautés. Ces projets doivent être considérés comme des opérateurs de changements, car ils participent à la valorisation des voix autochtones et à l’instauration de divers réseaux de solidarité. Par différentes stratégies conversationnelles en ligne, ces projets renouent ainsi avec le communautarisme propre aux médiums de communication traditionnels autochtones où le dialogue est primordial.
-
In a series of thematically linked essays, Ronald Niezen discusses the ways new rights standards and networks of activist collaboration facilitate indigenous claims about culture, adding coherence to their histories, institutions, and group qualities. Drawing on historical, legal, and ethnographic material on aboriginal communities in northern Canada, Niezen illustrates the ways indigenous peoples worldwide are identifying and acting upon new opportunities to further their rights and identities. He shows how - within the constraints of state and international legal systems, activist lobbying strategies, and public ideas and expectations - indigenous leaders are working to overcome the injuries of imposed change, political exclusion, and loss of identity. Taken together, the essays provide a critical understanding of the ways in which people are seeking cultural justice while rearticulating and, at times, re-dignifying the collective self. The Rediscovered Selfshows how, through the processes and aims of justice, distinct ways of life begin to be expressed through new media, formal procedures, and transnational collaborations.
-
Inventions have their greatest impact when they go beyond their possible practical applications and act upon the imagination. When Martin Behaim invented the first globe in 1490, a functionally useless object consisting mostly of terra incognita, he was widely ridiculed; but somehow the ideas that his globe represented stuck, and within a few decades the basic validity of his construction was confirmed by the voyages of Columbus, Cabot, Vasco de Gama, Magellan, and others. Today, with efforts to situate the rapid growth of information and communication technologies (ICTs), especially the Internet, in the context of globalization, there is a similar division between those who dismiss it as being of no importance and those who see in it a looming (for good or ill) global revolution. But, as with Behaim's globe, the imaginary possibilities of these innovations are important in determining how and to what extent human existence is to be transformed by them
Explorer
1. Approches
- Analyses formalistes (41)
- Approches sociologiques (320)
- Épistémologies autochtones (173)
- Étude de la réception (79)
- Étude des industries culturelles (283)
- Étude des représentations (340)
- Genre et sexualité (265)
- Histoire/historiographie critique (238)
- Humanités numériques (57)
- Méthodologie de recherche décoloniale (64)
2. Auteur.rice.s et créateur.rice.s
- Auteur.rice (76)
- Auteur.rice autochtone (102)
- Auteur.rice LGBTQ+ (16)
- Auteur.rice noir.e (95)
- Auteur.rice PANDC (303)
- Autrice (334)
- Créateur.rice autochtone (163)
- Créateur.rice LGBTQ+ (39)
- Créateur.rice noir.e (40)
- Créateur.rice PANDC (80)
- Créatrice (140)
- Identités diasporiques (65)
4. Corpus analysé
- Afrique (59)
- Amérique centrale (41)
- Amérique du Nord (388)
- Amérique du Sud (126)
- Asie (237)
- Europe (89)
- Océanie (27)
4. Lieu de production du savoir
- Afrique (24)
- Amérique centrale (9)
- Amérique du Nord (490)
- Amérique du Sud (74)
- Asie (126)
- Europe (145)
- Océanie (58)
5. Pratiques médiatiques
- Études cinématographiques (115)
- Études du jeu vidéo (245)
- Études télévisuelles (210)
- Histoire de l'art (118)
- Histoire de l'art - art autochtone (188)