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Atlas littéraire du Québec
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Les auteur.e.s posent les jalons d’un projet de recherche historique qui vise à étudier la culture coloniale euroquébécoise à partir de l’étude de la circulation de récits mettant en scène le missionnaire du Nord-Ouest canadien. L’historiographie internationale et canadienne de l’impérialisme a connu un renouvellement profond au cours des dernières décennies. Elle a révélé le rôle crucial des expériences impériales dans la construction des cultures nationales métropolitaines. Cette culture coloniale n’a pas fait l’objet d’une analyse systématique en ce qui concerne la société québécoise. Les auteur.e.s indiquent certaines raisons qui expliquent ce décalage avant de montrer que le sud du Québec peut pourtant être pensé comme une métropole reliée socialement et discursivement à diverses périphéries. Ils avancent de plus que le Québec évoluait à l’intérieur d’une vaste culture transimpériale et transconfessionnelle. Finalement, ils proposent que la propagande missionnaire produite par les Oblats de Marie-Immaculée dans la seconde moitié du XIXe siècle constitue une source pertinente pour l’étude de la culture coloniale québécoise.
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Based on the registration and account records of students, this study provides a portrait of the population of a Catholic college in Montreal between 1789 and 1860. A picture of strong heterogeneity thus emerges, particularly in the orientations. A situation resembling that of the French provincial institutions from the Old Regime is thus found. In fact, the College of Montreal is seen to be home to multi-purposed education, open to a diversified clientele and capable of offering education adapted to multiple expectations and abilities. In all, the image of a boarder engaged in long study periods pursued in the shadows of the walls of austere seminaries appears to need major revision. *La traduction du résumé est de Hélène Boutin et de Isabelle Bayha, sous la supervision de leur professeure d’anglais, Diane Pigeon.
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Présentation de l'éditeur : "En août 1657, quatre sulpiciens venus de Paris s'installent à Ville- Marie, au Canada. Ainsi commence, il y a 350 ans, l'aventure de Saint-Sulpice de Montréal. Éducation, charité publique, direction des âmes, organisation des paroisses, missionnaires et seigneurs de l'île, mécènes culturels : les Sulpiciens, hommes d'action et de goût, oeuvrent sur tous les fronts et sont étroitement associés à l'histoire de Montréal. Mais ils opèrent dans l'humilité et la discrétion propres à leur vocation religieuse. Aussi leur histoire restait-elle à écrire. C'est maintenant chose faite grâce aux travaux des historiens laïques ici réunis. Ceux-ci ont eu librement accès à des archives qui comptent parmi les plus anciennes au Canada. L'ouvrage fort documenté et richement illustré qui en résulte n'est pas seulement une référence. Il est aussi une invitation à entreprendre un périple dans une histoire méconnue, non exempte de soubresauts. C'est que tout en vivant leur sacerdoce sous le regard de Dieu, les Sulpiciens de Montréal entendaient aussi - entendent toujours - vivre ici-bas, parmi les hommes"
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Présentation de l'éditeur : "En août 1657, quatre sulpiciens venus de Paris s'installent à Ville- Marie, au Canada. Ainsi commence, il y a 350 ans, l'aventure de Saint-Sulpice de Montréal. Éducation, charité publique, direction des âmes, organisation des paroisses, missionnaires et seigneurs de l'île, mécènes culturels : les Sulpiciens, hommes d'action et de goût, oeuvrent sur tous les fronts et sont étroitement associés à l'histoire de Montréal. Mais ils opèrent dans l'humilité et la discrétion propres à leur vocation religieuse. Aussi leur histoire restait-elle à écrire. C'est maintenant chose faite grâce aux travaux des historiens laïques ici réunis. Ceux-ci ont eu librement accès à des archives qui comptent parmi les plus anciennes au Canada. L'ouvrage fort documenté et richement illustré qui en résulte n'est pas seulement une référence. Il est aussi une invitation à entreprendre un périple dans une histoire méconnue, non exempte de soubresauts. C'est que tout en vivant leur sacerdoce sous le regard de Dieu, les Sulpiciens de Montréal entendaient aussi - entendent toujours - vivre ici-bas, parmi les hommes"
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Présentation de l'éditeur : "En août 1657, quatre sulpiciens venus de Paris s'installent à Ville- Marie, au Canada. Ainsi commence, il y a 350 ans, l'aventure de Saint-Sulpice de Montréal. Éducation, charité publique, direction des âmes, organisation des paroisses, missionnaires et seigneurs de l'île, mécènes culturels : les Sulpiciens, hommes d'action et de goût, oeuvrent sur tous les fronts et sont étroitement associés à l'histoire de Montréal. Mais ils opèrent dans l'humilité et la discrétion propres à leur vocation religieuse. Aussi leur histoire restait-elle à écrire. C'est maintenant chose faite grâce aux travaux des historiens laïques ici réunis. Ceux-ci ont eu librement accès à des archives qui comptent parmi les plus anciennes au Canada. L'ouvrage fort documenté et richement illustré qui en résulte n'est pas seulement une référence. Il est aussi une invitation à entreprendre un périple dans une histoire méconnue, non exempte de soubresauts. C'est que tout en vivant leur sacerdoce sous le regard de Dieu, les Sulpiciens de Montréal entendaient aussi - entendent toujours - vivre ici-bas, parmi les hommes"
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Recounting the history of everyday life in its various forms poses different problems in regard to the time period under examination and the scholarly approach being taken. While French "histoire des mentalités" remained on the level of the abstract, other schools - Italian, German and British - returned the emphasis to the individual, the ordinary citizen confronted by the many trivial necessities of everyday life. The telling of Quebec's religious history became part of this social historical trend. Exploring archives which evoked the ordinary life of the parishes, these historians described a concrete religion, inseparable from forms of local sociability. Another kind of history of everyday life is possible, however: one that seeks not to make sense of ordinary events, but to produce a history of the category itself, and of its incorporation. It involves, in fact, a renewed emphasis on structure and its evolution, a history of defined time, represented and experienced through repetition. Taken from this perspective, religious history has much from which to benefit.
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An article from Revue d'histoire de l'Amérique française, on Érudit.